1. Dressage d'une belle-mère


    Datte: 13/01/2018, Catégories: Mûr, Auteur: byJipai, Source: Literotica

    ... l’appartement, la soirée commençait à s’avancer. Belle maman vint m’ouvrir comme la veille et m ‘attira à l’intérieur pour me rouler une pelle des plus fougueuse. Je l’enlaçais et posais mes mains sur ce qu’elle avait de plus charnu en elle, ses fesses. Mes mains pénétrèrent assez loin pour me rendre compte à ma grande surprise, qu’elle m’avait obéi et qu’elle ne portait pas de culotte. Enhardi par ce premier succès, je palpais son absence de poitrine pour ma rendre compte qu’elle était libre de tout soutien gorge.
    
    _ « J’ai eu du mal à m’y faire vous savez ! je croyais que j’étais nue et que tout le monde me regardait. » me lança belle maman. Je souris en regardant cette poitrine plate que rien ne laissait deviner.
    
    _ « C’est comme d’habitude, personne n’a du s’en apercevoir. »
    
    _ « Oui mais moi je savais ! » me répliqua-t-elle sèchement.
    
    _ « Question d’habitude, vous verrez que bientôt vous n’y ferez plus attention. »
    
    _ « Ah bon ! parce que vous allez m’obliger à être comme ça maintenant, sans culotte et sans soutien gorge ? »
    
    _ « Oui, je veux désormais savoir que vous vous promenez sans culotte dans la ville, et sans soutien gorge non plus. »
    
    Elle me regardait comme si je fus débarqué de la planète Mars, essayant de reprendre cet air hautin qui était habituellement le sien, elle me lança :
    
    _ « Mais je suis une femme bien moi ! je suis connue ici, que vont dire les gens ? »
    
    _ « Rien, ils ne sauront pas, ils ne diront rien et vous et moi seront ...
    ... seuls à savoir ce petit détail. »
    
    En disant cela je l’avais poussé vers la salle à manger, elle était maintenant appuyée contre la table Louis XV de la salle à manger et je lui troussais la jupe. Je défis la ceinture de mon jeans et sortie ma queue déjà raide de mon slip. Sans un mot j’écartais ses cuisses et guidais ma bite à l’entrée de sa chatte. D’un coup de reins j’étais en elle, sans effort et sans résistance, elle me laissait la saillir ainsi au bord de la table de la salle à manger où nous avions eu tant de repas de famille les plus ennuyeux les uns que les autres. Et pendant que je besognais ma belle mère, je ne pouvais mentalement m’abstenir de voir tout autour de la table mes deux belles sœurs leurs maris et leurs enfants, ainsi que ma propre femme et enfin ma belle mère qui présidait ces repas dominicaux où tout le monde était réunis.
    
    Je finis par l ‘allonger à plat dos sur la table pour plus de confort pour elle et pour moi. Elle avait ses deux jambes dressées au dessus de la table, ses fesses en dehors pour je puisse la pénétrer au plus loin que me permettait mon engin. Comme la veille je touchais l’utérus et lui tirais quelques petits cris de protestation, mais dans l’ensemble elle appréciait ma prestation.
    
    Excité par la docilité dont elle avait fait preuve, j’éjaculais assez vite en son ventre, répandant au fond de son trou ma semence bouillante qui réchauffait ses entrailles. J’y déversais jusqu’à la dernière goutte et je me retirai d’elle, pour lui ...
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