Le dressage de ma famille (6) - Histoires de Sexe

Le dressage de ma famille (6)

... présente mon pénis devant sa bouche. Elle le lèche doucement avec passion. Une fois bien dure, elle met le gland dans la bouche et me le suce comme avec une sucette. Je lui agrippe la tête et commence un va-et-vient. Ma sœur se contracte et sans le vouloir morde légèrement dans mon pénis. Je crie plus de surprise que de douleur. Elle s’excuse directement, elle n’a pas réussi à se retenir en jouissant. Sous mon regard courroucé, elle s’excuse et demande quelle punition m’apaiserait. Je souris et lui dis d’attendre.

Je vois que le pied du plug de maman est un peu plus large que l’ouverture pour l’anus de la ceinture de chasteté, après que maman ait fait ses besoins, je remets le plug et par-dessus installe la ceinture. Ma mère est tout excitée à l’idée de dépendre encore plus de son fils.

Le téléphone sonne, c’est notre voisin pervers, Norbert, qui sort de son silence. Il a quelques minutes à consacrer à maman et il veut que cela soit aujourd’hui en fin d’après-midi. Je hurle dans mes pensées. Comment vais-je réussir à lui faire tenir la punition à ma mère...

Je dis à ma sœur de s’allonger sur mes genoux, les fesses en évidence. Pendant que l’on met au point le plan avec maman pour son voisin, je fais tomber fessée sur fessée. Le postérieur rouge vif, ma sœur jouit une fois de plus, avant même la fin de l’élaboration de notre plan. Elle s’allonge sur mon lit, je lui ordonne de s’asseoir sur une chaise et de participer. Elle grimace en se posant sur le bois de la ...

... chaise. Réalisant maintenant de quoi il en retourne. Maman lui explique les raisons qui l’ont poussée à en arriver là. Le plan au point et l’heure du rendez-vous arrivé, Maman va voir Norbert, notre voisin lubrique. Le téléphone sonne, le voisin tout fâché me crache dessus.

— File-moi le numéro du cadenas où je lui fais du mal.

— Mets le haut-parleur, que je sache si elle se porte bien. J’ordonne.

— Je vais bien. Dis ma mère.

Pendant que je le baratine en mimant un oubli, il rage. On est devant l’entrée. Je me retourne et regarde sa femme, Janine. Il est visible qu’elle contient sa fureur uniquement grâce à Anita, ma sœur et le plan rapidement expliqué et qui la fait sortir de sa réunion avec ses copines. Enfin, le jeu va commencer.

Janine ouvre la porte, se rue dans la chambre et lui hurle dessus que c’est un vil cochon, qu’une fois par mois, c’est beaucoup trop d’honneur pour lui et qu’elle regrette de lui avoir fait confiance. Avec ma sœur, on prend quelques photos. Il s’est jeté au pied de sa femme pour la supplier de lui pardonner, mais qu’il ne tient plus, tellement il a envie de sexe. Furieuse, elle dit qu’elle va y veiller au grain pour cela. Pendant ce temps, maman s’est rhabillée et est partie. Je prends la parole et expose mon idée pour suivre le plan.

— Comme je lui ai proposé, c’est moi qui vais surveiller ta libido et je t’apprendrais de nombreuses choses. Elle voulait, avant de donner son accord, être sûre de nos allégations. Que tu lui as ...