Le dressage de ma famille (6) - Histoires de Sexe

Le dressage de ma famille (6)

On n’est qu’à la moitié du samedi et la soumission de Pauline me parait encore irréelle, une part de mon esprit me chuchote qu’il risque d’y avoir un retour de bâton. Je chasse ces pensées et j’entre dans l’appartement familial. Ma sœur me saute dessus, en nuisette avec ses tétons qui pointent. Elle m’embrasse goulûment, je lui rends le baiser. Je la caresse, mes mains descendent sur un entrejambe humide. Elle se frotte frénétiquement et me chuchote.

— Je veux, prends-moi ! viiiitte !

— Oublierais-tu notre promesse ? Je demande, l’esprit embrumé par l’envie.

— Au diable la promesse, je te veux tout de suite.

Je lui caresse l’anus et lui dis.

— Je tiendrais cette promesse, si tu y tiens vraiment, il y a d’autres moyens.

— Nooonnnn. Pourquoi ?

— Comment puis-je passer pour un homme de parole, si, à la moindre occasion, je la tords ou l’oublie ?

— OK... mais j’ai quand même envie que tu me fasses du bien.

Je continue de la caresser et de l’embrasser, la température monte, elle frotte son pubis contre le mien. Elle essaie tant bien que mal de me convaincre. Finalement, je lui explique que les filles ont la chance d’avoir plusieurs entrées possibles pour ressentir du plaisir et en donner. Elle est un peu refroidie. Mes caresses sur son anus lui offrent un frisson ou deux. Un peu réfractaire, elle avoue qu’elle a peur d’avoir mal. Je lui promets de l’entraîner pour qu’elle ressente du plaisir. Maman nous appelle pour le dîner. Je leur ordonne de se mettre ...

... toute nue pour manger. Elles s’exécutent. C’est avec une monstre gaule que l’on mange en papotant de tout et de rien. Le soir venu, ma mère vient accompagnée de ma sœur et je tends à cette première, la ceinture de chasteté. Je lui remémore la punition. Ma sœur la regarde et lui donne une fessée. J’en donne deux à cette dernière en lui expliquant qu’elle n’a pas à donner les punitions.

Ma mère un peu frustrée, qui rêve de luxure n’en est que plus excitée. Je joue avec ses tétons pendant que ma sœur se masturbe. Puis je sors de mon tiroir a malice, un plug. Je demande à ma sœur de le sucer, sans broncher, elle s’exécute. Je présente l’objet à l’entrée de l’anus de maman et l’enfonce un peu. Il y a une résistance à ses quatre centimètres d’épaisseur. Je le mets dans la bouche de ma mère. Elle le suce goulûment et met beaucoup de bave dessus. Je force l’entrée, ma mère fait la grimace. Il entre et se cale au fond, elle frissonne, se cambre et se tord sous sa jouissance. Ma sœur demande.

— Est-ce si bon que cela de faire l’amour par l’anus ?

— C’est bien meilleur que le vagin ! répond maman, le souffle court.

— Je dirais que cela dépend des femmes. Dis-je.

Ma sœur présente son anus. Sa fente est tout rouge de désir, et son parfum me rend fou, j’ai de la difficulté à me contrôler. J’ordonne à maman de lui lécher l’anus. Je vois qu’elle n’est pas motivée. Heureusement, elle ne discute pas et commence à lécher. Ma sœur a les joues toutes rouges, c’est irrésistible. Je ...