Les sabots d'Hélène
Datte: 27/03/2023,
Catégories:
fh,
jeunes,
copains,
vacances,
campagne,
amour,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
Oral
pénétratio,
init,
rencontre,
initiat,
Auteur: Saturne, Source: Revebebe
... d’activités à nous proposer, car elle connaissait par cœur le pays, c’est cette dernière raison qui lui avait permis peu à peu de s’intégrer à notre petit groupe : en y repensant aujourd’hui, je la considérais presque comme un garçon.
Bernard et moi n’avions d’yeux que pour Patricia, mais Bernard avait été plus rapide : il l’avait embrassée une fois avec la langue, et avait même posé ses mains sur sa poitrine, ce qui lui permettait d’affirmer qu’elle était sa copine, entendez par là sa propriété exclusive. Étant fidèle en amitié, je n’aurais jamais essayé de lui souffler Patricia, tout en espérant la fin de leur idylle, qui me redonnerait toutes mes chances auprès de la belle…
Patricia, elle, ne se considérait pas comme la chose de Bernard, elle se disait une« femme libre »… et testait très souvent son pouvoir de séduction sur les trois garçons, il faut dire qu’elle avait de nombreux atouts : jolie, toujours bien habillée, légèrement parfumée, les yeux maquillés avec soin, un tantinet allumeuse. Le portrait serait incomplet si on ne mentionnait une autre caractéristique : elle devenait vite pénible, voire insupportable, dès qu’elle ne se sentait pas le centre d’intérêt de notre trio de garçons.
Jean avait deux ans de plus que nous, il partageait rarement nos activités, et dédaignait les deux filles. Quand nous étions entre garçons, il parlait à leur propos des deux pucelles, et nous avait laissé entendre qu’il était très expérimenté en matière de sexe. Ce qui ...
... n’était absolument pas mon cas : à l’époque, mon lycée n’acceptait que les garçons, et dans mon quartier, il y avait très peu d’adolescentes, autant le dire simplement : je n’avais aucune expérience des filles…
Les vacances de Pâques prennent fin… Un peu tristes de nous séparer, Bernard et moi formons des projets pour les vacances d’été au moment où Hélène rapplique, enjouée comme à son habitude… Elle nous propose d’aller à la cascade qui se trouve à cinq minutes du hameau, un endroit tranquille, avec une petite retenue d’eau, dans laquelle il est possible de se rafraîchir sans prendre de risque.
Sachant Patricia en famille pour la journée, Bernard et moi acceptons sa proposition et partons illico pour la cascade…
Bernard ouvre la marche, nous sommes presque arrivés, quand, à vingt mètres de la cascade, Bernard s’immobilise, fait brusquement demi-tour, blanc comme un lavabo, puis rebrousse chemin sans dire un seul mot. Je lui demande :
— Où vas-tu ?
Aucune réponse, perplexe, je regarde Hélène, elle ne répond pas, mais me montre la direction de la cascade, un couple est allongé dans l’herbe, très occupé à se bécoter : c’est Patricia et Jean !
La cascade fait énormément de bruit, et le couple semble très occupé, il n’a pas conscience de notre présence. Curieux comme on peut l’être à l’adolescence, Hélène et moi approchons discrètement, Hélène me prend la main, et me guide vers un endroit qui surplombe la cascade, d’où nous pouvons voir sans être vus, masqués par de ...