Pierre, le journaliste (2)
Datte: 26/03/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: phildomi, Source: Xstory
On sonne à la porte de l’appartement de Pierre. Il est 8 h du matin, il vient juste de se lever. Il est en robe de chambre. Quand il ouvre, il voit deux gendarmes. Il a failli éclater de rire tellement ils étaient caricaturaux. Lui, petit, un peu rondouillard avec une moustache, elle, grande, bien costaude, mais son rire est vite parti en voyant leur air peu avenant.
— Bonjour, vous êtes bien Pierre Ptitbois.
C’est la gendarmette qui a parlé.
Il acquiesce.
— Suivez-nous, nous avons quelques questions à vous poser.
— Que me voulez-vous ?
— Le capitaine vous le dira. Nous, on est juste là pour venir vous chercher. Allez-vous habiller.
Pierre alla dans sa chambre. Il commençait à flipper. Qu’est-ce que c’est que cette histoire ? Il ne comprenait rien. Une fois habillé, il retourne vers les gendarmes. Ceux-ci le conduisent à la gendarmerie. Sur la route, les deux gendarmes discutent, Pierre n’écoute pas, il ne comprend pas pourquoi il est là. Le ton monte entre les deux gendarmes, faisant sortir Pierre de ses pensées. Ils s’engueulent. C’est lui qui gueule le plus fort. Il la traite de salope, de fille à soldat, de pute, de traînée. Elle, qui au début essayait de se défendre, gémissait en demandant pardon. Alors il reprit la parole. Puisque tu n’es qu’une vide couille, je ne vois pas pourquoi tu as une culotte. Les vides couilles comme toi doivent être disponibles. Je le dirais à toute la caserne et aux épouses. Tout le monde t’utilisera, sale ...
... pute.
Arrivés à la gendarmerie, ils descendirent. Pierre fut amené auprès du capitaine. Celui-ci le fit asseoir, consulta l’ordinateur, alla se chercher un café, revint s’assoir et leva la tête vers Pierre. Ce petit manège a duré au moins cinq minutes.
— Vous savez pourquoi vous êtes là, Monsieur Petitbois ?
— Non, je ne sais pas. Je n’ai pas commis d’infraction. Je ne comprends pas pourquoi je suis ici.
Le capitaine eut un petit sourire.
— Vous êtes tous les mêmes, vous nous prenez pour des cons. Ecoute bien, ce soir, tu dormiras en taule et pour longtemps, crois-moi. Et ta rubrique de merde, tu pourras la faire auprès de tes copains de taule, les tueurs de tout poil. Oui, parce que toi, le journaleux de mes deux, je vais te dire ce que j’en pense de ton travail de caniveaux. Tu vois, tu es allé voir mes grands-parents pour leur faire dire leur soi-disant secret. Tu as écrit dans ton article que ma grand-mère avait Martin comme amant, à la grande joie de mon grand-père. Bien sûr, toi la grande plume de mes deux, tu as ajouté que Martin était bien pourvu à la grande satisfaction de ma grand-mère. Et puis, comme si cela ne suffisait pas, tu as dit qu’elle allait, encore à son âge, voir son amant plusieurs fois par semaine. Et ce que tu ne sais pas, connard de journaliste, c’est que Martin, c’est l’âne de mes grands-parents. Maintenant, tous ceux qui connaissent mes grands-parents savent que ma grand-mère se fait baiser par son âne. Alors tu vois, le crime que tu as commis, je ...