1. Chez la coiffeuse (2)


    Datte: 25/03/2023, Catégories: Lesbienne Auteur: sexag, Source: Xstory

    ... votre vendeuse, je l’ai trouvée très douce, c’est pourquoi je suis revenue.
    
    — Je sais qu’elle aime bien les clientes de votre genre.
    
    Cette phrase sonne bizarrement, qui plus est, elle est appuyée d’un regard insistant les yeux dans les yeux. Un regard troublant qu’elle accompagne d’un rapprochement et d’un geste en forme de caresse sur le haut de ma cuisse. Je ne me recule pas et sens monter en moi un désir que je commence à bien connaître. Sans se soucier de l’arrivée éventuelle de clientes, la patronne continue ses caresses en remontant ostensiblement ma jupe jusqu’au haut de mon bas et introduit sa main sous le voile pour mieux me caresser la peau. Insidieusement, la main remonte vers ma chatte que je sens trempée de cyprine, mais le manège est interrompu par le carillon de la porte annonçant l’entrée d’une cliente. L’excitation est stoppée net.
    
    — Bonjour Madame, que puis-je pour vous ?
    
    — Je voulais juste savoir quand commençaient les soldes.
    
    — Dans quinze jours Madame, mais si vous avez une carte de fidélité, dès la semaine prochaine, nous effectuerons des ventes privées.
    
    — Merci, au revoir Madame.
    
    Il est midi, derrière la cliente, la patronne ferme la porte à clef et descend le rideau. En revenant vers moi, j’observe cette poitrine qui danse à chaque pas, c’est terriblement excitant.
    
    — Vous n’avez rien dit tout à l’heure. Je ne vous ai pas choqué ?
    
    — Non Madame, je peux même dire que c’était agréable.
    
    — Appelez-moi Anne, ça vous ...
    ... rappellera peut-être votre venue d’hier, vous m’avez dit que l’autre Anne était très douce. Racontez-moi.
    
    — Oh ce n’était rien, je l’avais vue en train de refaire l’étalage dans la vitrine, accroupie, elle dévoilait son entrejambes et j’avais remarqué qu’elle n’avait pas de culote. A la vue de mon regard inquisiteur, elle s’est ravisée. Je suis entrée, nous avons fait des essayages et j’ai senti la douceur de ses mains sur mes bas jusque dessous ma jupe. Le contexte ne lui permettait pas d’aller plus loin. A ma sortie du magasin, j’ai fantasmé et aujourd’hui je voulais la revoir.
    
    — Si je comprends bien, vous aussi vous aimez les femmes ?
    
    — Oui surtout les belles femmes comme vous. Votre tenue, votre poitrine, vos jambes, vous devez beaucoup plaire aussi bien aux femmes qu’aux hommes.
    
    Après mes paroles, Anne s’approche de moi, me saisit la tête par les cheveux et colle sa bouche sur la mienne. Je ne résiste pas, je desserre les dents, nos langues se rencontrent, se lient, se délient, nos lèvres s’écrasent, nous échangeons nos salives avec fougue. Anne me lèche littéralement le visage. Même à ce stade, je suis prise d’une excitation sans borne et je sens couler mon jus le long de mes cuisses. Je n’ai plus de retenue envers cette inconnue. A deux mains, je remonte le peu de cuir de sa jupe en haut de ses cuisses, dévoilant les attaches de son porte-jarretelles. Elle aussi n’a pas de culotte. J’empoigne les deux lobes de son cul et la colle contre moi.
    
    — Viens dans ...