1. Chez la coiffeuse (2)


    Datte: 25/03/2023, Catégories: Lesbienne Auteur: sexag, Source: Xstory

    La partie de baise à trois avec Chez Elodie la coiffeuse et Myriam la serveuse du café que nous avons prise comme jouet sexuel s’est terminée dans un triple orgasme, et chacune s’est retirée pour un repos bien mérité.
    
    Arrivée à l’appartement, je ne prends pas de douche, je veux garder tous les effluves de nos ébats, En me déshabillant, je ne peux m’empêcher de me caresser, le long de mes jambes, j’adore sentir le crissement de mes bas puis j’arrive à ma chatte. J’avais gardé le string de Myriam qui n’a pas eu le temps de sécher, car j’ai remouillé dedans. J’aime bien tirer sur mes poils de chatte pour ouvrir ma caverne et observer mon clito entre mes lèvres béantes. Ce soir, je suis insatiable, j’ai envie de me branler et au bout de quelques minutes de trituration de ce clito de plaisir, je pars dans un violent orgasme qui me couche sur le lit
    
    Après une bonne nuit de repos "du guerrier !!", nous sommes samedi, je m’offre une grasse matinée jusqu’à 10h.
    
    Pendant mon petit-déjeuner, je ne cesse de penser à cette folle journée d’hier : les caresses de la coiffeuse, le bref passage au magasin de chaussures, la prise de rendez-vous avec Elodie, la rencontre à trois avec Myriam la serveuse – une fieffée salope celle-là pour son âge-. La tension monte en moi à tel point que je me demande si je ne deviens pas nymphomane. Je découvre à quel point j’aime le sexe. Le corps des femmes ne m’a jamais autant fait d’effets. Le déclic s’est fait à la suite des caresses furtives puis ...
    ... appuyées de cette coiffeuse.
    
    Je mets dans mon programme de revenir au magasin de chaussures pour voir si la vendeuse d’hier est toujours là. Je m’habille très sexy en mettant en valeur ma poitrine, mes bas et mon porte-jarretelles et pas de culotte. On ne sait jamais ...
    
    Arrivée devant la boutique, un bref regard à travers la vitrine ne me permet pas de voir si ma vendeuse est bien là. J’entre donc, je m’attarde sur le rayon des escarpins tout en balayant du regard les autres rayons en quête de mon éphémère contact d’hier. Elle n’est pas là. Seule une vendeuse à la caisse est occupée avec une cliente. La cliente partie, la vendeuse se dirige vers moi. Belle plante ma foi : 1.80m environ perchée sur des hauts talons, jupe en cuir noir, très courte à mi-cuisses qui dévoile le haut brodé de ses bas à chaque pas avec une opulente poitrine qui dilate son corsage blanc en laissant nettement voir la gorge de séparation de ses seins. Désirable cette personne ! Mais arrêtons là mes pensées, ce n’est pas pour elle que je suis venue.
    
    — Bonjour Madame. Puis-je vous être utile ?
    
    — Bonjour, je suis venue hier et j’ai été conseillée par une de vos collègues, une petite dame brune.
    
    — Oui, c’était Anne. C’est ma vendeuse préférée. Je suis sa patronne. Elle est de repos aujourd’hui, dites-moi ce qui vous ferait plaisir. Je vois que vous êtes élégante, que recherchez-vous ?
    
    — Vous aussi vous êtes élégante et votre tenue vous va à merveille. J’ai très apprécié les conseils de ...
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