Zaï Zaï Zaï
Datte: 24/03/2023,
Catégories:
fh,
asie,
telnet,
Masturbation
Oral
Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe
... doigts qui se glissent peu à peu en elle, qui vont et viennent, rebroussent chemin pour s’engloutir plus avant à chaque fois, plonger dans cette moule bouillonnant de mouille incendiaire. La salope convulse sous mes doigts, lâchant à chaque fois des flots de miellat doucereux qui inondent jusqu’à mon petit trou. Lui aussi palpite, lui aussi il appelle, le salaud, réclame sa part, mais tout comme ma cramouille, il restera ce soir au régime sans bite !
Sacrée Xiu ! Et en plus, elle est drôle !
Je n’imagine pas une seconde qu’elle puisse simuler, qu’elle ne soit pas effectivement occupée à faire ce qu’elle raconte. Que ses doigts ancrés dans sa moule ne subissent pas les irrésistibles contractions de son violent désir. J’entends l’indécente catin haleter, gémir, je l’imagine en proie à des secousses irrépressibles qui peu à peu annihile sa maîtrise et sa conscience, la pousse vers le précipice abyssal culminant aux cieux lumineux.
— Claude, mes nichons me font mal, ma chatte hurle à l’amour, elle n’en peut plus, je viens de lui enfourner un quatrième doigt, l’auriculaire fripon, mais stop, elle n’aura pas mon pouce ! J’en aurai besoin bientôt pour appuyer sur le détonateur. Mais pas avant d’avoir ta queue en bouche. Claude, je t’en prie, dis-moi que je te fais bander, que je suis bien la putain que tu espérais, que j’ai été assez salope pour mériter ta queue ! Je veux ta grosse bite dans ma bouche !
— Oh oui, adorable putain, prends-la, suce-la, pompe-la, noie-la dans ...
... ta salive brûlante, embrasse-la ! Engloutis-la !
— Oh oui, merci ! Je vais la rendre folle, je vais la démonter en deux temps-trois mouvements, vite, très vite, car moi, je n’en peux plus, mon bouton est prêt à me mettre sur orbite. Viens ! Oh, j’aime ta queue qui emplit ma bouche, force mes lèvres. J’adore ton gland, dur, lisse, gonflé, ma langue cartographie les infimes reliefs de ton chibre impatient, chaque veine qui le parcourt, et le canal qui dessous enfle, gonfle, se remplit. Car il l’est, impatient n’est-ce pas ton braquos : je le sens vibrer, tressauter, palpiter. Tu es… au bord… de la rupture. Viens, maintenant ! Donne-moi ton foutre salé, étouffe-moi de ta semence ardente. Je viens, Claude… je VIENS !
— Moi aussi, je viens ! Oh ! Oui, prends… mon foutre ! Avale !… Avale tout !
Dans les instants qui suivent, ce ne sont plus que plaintes, soupirs, cris, borborygmes incompréhensibles, intraduisibles…
À des milliers de kilomètres l’un de l’autre, nous nous sommes rejoints, un instant, dans cette ahurissante fusion qui nous propulse au septième ciel ! Septième ciel, expression rebattue, mais qu’elle autre pourrait englober aussi parfaitement le lumineux bonheur que nous arpentons à cet instant ? Quels mots pour exprimer ce banal miracle, mille fois connu, mais toujours inédit ? Fabuleusement unique !
Peu à peu, les soupirs, les halètements, les petits cris de Xiu se sont calmés, bien après que j’aie moi-même retrouvé ma conscience. J’ai pu suivre ainsi avec ...