Dépasser nos limites (1)
Datte: 22/03/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: solenc, Source: Xstory
... d’un coup. J’ai ressenti un grand vide. D’un ton autoritaire, il m’a fait mettre à quatre pattes dans l’herbe juste en face de ma femme, qui me regardait toujours. Il est entré entièrement d’un seul coup en moi. J’ai poussé un grand cri. Il m’a dit :
« — Ferme-la ! Et regarde ta femme bien dans les yeux pendant que je te baise. »
Il m’a mis plusieurs fessées assez fortes. J’avais un peu mal, mais j’aimais ça. Ma femme m’a dit :
« — Tu aimes ?
— Hmmm oui !
— Tu es une vraie cochonne en fait. »
Soudain, j’ai senti la queue se planter au fond de moi et se contracter. Olivier a joui dans un râle de plaisir. Il a retiré sa queue et s’est relevé. Je me suis écroulé dans l’herbe. Il m’a dit :
« — T’es une bonne salope toi. »
Et là, il a retiré sa capote et l’a vidée sur mon torse. Il m’a ordonné de me branler. J’ai joui très rapidement sur mon ventre. J’étais allongé par terre, recouvert de sperme, l’anus endolori. J’allais me relever, mais il m’a dit :
« — Reste comme ça, je vais te pisser dessus. »
Je lui ai dit non, que je ne voulais pas. Il était contrarié et m’a mis plusieurs fessées très appuyées pour me punir. Il s’est habillé et il est parti presque sans rien dire.
Je me suis allongé sur le transat à côté de ma femme, toujours couvert de sperme. Nous nous sommes donné la main et avons commencé à discuter. Je lui ai dit ce que j’ai ressenti, particulièrement que j’avais beaucoup aimé me sentir humilié devant elle. A elle aussi, ça lui avait ...
... plu. J’avais hâte de retrouver cette sensation et pourquoi pas aller un peu plus loin dans des jeux de soumission. Elle semblait aux anges.
Le lendemain après-midi, Julie et moi étions dans notre jardin en train de profiter du soleil. Nous étions nus tous les deux. Je regardais ses jambes et ses pieds vernis. J’ai développé une certaine attirance pour les pieds avec le temps. Je lui ai proposé de les lui masser. Elle a accepté. Comme souvent quand je lui masse cette partie du corps, j’ai porté ses pieds à ma bouche pour lui sucer les orteils et lui lécher la plante des pieds. Elle me regardait avec un air amusé et joueur. Après quelques minutes, elle m’a dit :
« — Allonge-toi.
— Quoi ?
— Allonge-toi ! »
J’allais m’allonger sur un transat, mais elle a dit :
« — Non, dans l’herbe. »
Son ton devenait assez autoritaire. Je me suis allongé, attendant de voir ce qu’elle voulait. Elle s’est mise au-dessus de moi, un pied de part et d’autre de mon torse. Elle me regardait avec un air que je ne lui connaissais pas. Et là, j’ai senti qu’elle commençait à me pisser dessus. Une fois passée la surprise, je me suis laissé faire. J’ai tout de suite trouvé ça terriblement excitant. La sensation d’humiliation, la chaleur, l’odeur, tout me plaisait. J’en avais partout : sur le ventre, le torse, et même un peu sur le visage. Je bandais comme un fou. Quand j’ai retrouvé mes esprits, j’ai dit :
« — Qu’est-ce qui t’a pris ?
— Je sais pas, j’avais envie... Ca t’a plu ?
— ...