1. Dépasser nos limites (1)


    Datte: 22/03/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: solenc, Source: Xstory

    ... t’aime. »
    
    Nous lui avons ouvert. Il était fidèle aux photos qu’il avait envoyées. Il était calme et souriant. Je suis un peu intimidé, alors Julie prend les choses en main et propose d’aller boire un verre sur la terrasse. Je m’assieds à côté de lui. On discute un peu, puis Olivier, voyant ma gêne, m’attire à lui pour m’embrasser. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai résisté. Je n’avais jamais embrassé un homme. Ca ne m’avait même jamais traversé l’esprit. Je me suis finalement laissé faire. C’était plus rugueux qu’avec une femme, mais ce n’était pas déplaisant. Il a alors pris un ton plus directif :
    
    « — Déshabille-toi. »
    
    Je me suis exécuté sans rien dire. J’ai ensuite voulu l’embrasser, mais il m’a dit :
    
    « — Qu’est-ce que tu fais ? Mets-toi à genoux. »
    
    Je me suis agenouillé devant lui. Il a baissé son short pour libérer sa queue encore molle. Je me suis mis à lui lécher la bite et à la prendre dans ma bouche. Je l’ai senti durcir petit à petit. Il m’a ordonné de le regarder pendant que je le suçais. Son ton était de plus en plus directif. Je commençais à comprendre ce qu’il voulait dire quand il m’a dit être dominant.
    
    A un moment, il m’a arrêté et m’a dit de me mettre à quatre pattes. Il m’a dit d’avancer jusqu’à un transat. J’avançais à quatre pattes, nu, dans le jardin, puis je suis monté sur le transat. Olivier était derrière moi, il s’était déshabillé entièrement. J’ai senti sa langue contre mon anus, c’était agréable. Il m’a demandé ensuite si j’avais ...
    ... du gel. Julie s’est approchée de nous et lui en a donné. Elle s’est allongée sur le transat juste à côté de nous. Elle me regardait pendant que je sentais la froideur du gel sur mon cul. Il a mis directement deux doigts en moi. Plus il les faisait coulisser, plus mon plaisir grandissait.
    
    Soudain, j’ai réalisé que j’allais me faire prendre par un homme. J’avais peur d’avoir mal, mais je voulais sentir sa queue en moi. Presque sans m’en rendre compte, je lui ai dit, enfin presque supplié :
    
    « — Prends-moi. »
    
    Il a mis une capote, a rajouté un peu de gel, et a posé sa queue contre mon anus. Il me tenait fermement par les hanches et je l’ai senti me pénétrer. C’était un peu douloureux au début. Il est entré lentement en moi. Quand sa bite est entrée en entier, je me suis senti salope. J’aimais ça. Ses va-et-vient étaient lents, mais profonds. Les yeux fermés, je commençais à gémir. Je me sentais possédé.
    
    Quand j’ai ouvert les yeux, j’ai instinctivement tourné la tête pour regarder ma femme. Elle me regardait elle aussi. Je me sentais humilié. J’étais en train de me faire enculer par un mec devant ma femme, et en plus j’aimais ça. Cette sensation d’humiliation m’a beaucoup plu, c’était la première fois que je ressentais ça. J’essayais de contenir mes gémissements. Julie m’a demandé :
    
    « — Tu aimes hein ?
    
    — Oui, putain c’est bon ! »
    
    Olivier a accéléré ses coups de reins. Je ne pouvais plus me retenir de crier tellement c’était bon. A un moment, il a retiré sa bite ...
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