1. Le Tournoi des six nations (3)


    Datte: 21/03/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Lartmateur, Source: Xstory

    ... part en courses, en robe ou en jupe courte, le sexe libre et accessible aux regards, mais parfois également aux mains baladeuses des plus téméraires. Parfois... Ce sont des risques que nous assumons.
    
    La ficelle contournée, mes mains accèdent à son intimité humide. Délicatement, je triture l’éminence de ma maîtresse, elle se tortille. Mes doigts s’agitent autour de son bouton d’amour. L’agacent, le tirent de sa cachette. Je remonte et nos bouches se retrouvent, se ressoudent, se dégustent de nouveau en de doux baisers. Ma langue part en exploration de ce corps inconnu aussi blanc qu’un linge neuf. J’atteins son nœud de naissance, ce puits d’amour, son ombilic. Ma langue y tournoie pour reprendre son chemin. Bientôt, je découvre une toison entretenue, taillée au millimètre tel le gazon anglais. Son sexe est aussi lisse qu’à sa naissance, glabre, dépourvu de la moindre racine. Je hume ce parfum d’outre-Manche et ne peux m’empêcher de m’abreuver à la source de la vie qui m’est ainsi offerte. Ma langue part dans une exploration folle. Je la taquine, alternant coup de langue, aspiration et becquetage. Je me repais de ce mélange de cyprine et de salive.
    
    Ses mains me caressent les cheveux et de temps à autre viennent sceller mon visage à ses lèvres intimes, forçant la caresse. Devant une marée de désir, son coquillage s’entrouvre puis très vite bâille. Ma langue pointue pénètre le porche d’entrée, visite le vestibule. La demoiselle se pâme dans une jouissance discrète, mais ...
    ... certaine.
    
    Je me redresse, retire mes derniers effets. Ma verge arquée est prête pour l’assaut final. « Madi », assise sur le bord du canapé, se saisit de l’objet, tend ses lèvres pour me rendre la caresse.
    
    — Tu n’es pas obligée, lui dis-je.
    
    Son regard plonge dans le mien. Un souffle chaud sur le méat, de sa bouche arrondie, je me sens aspiré. Le bien-être me gagne. Incroyable sensation, cette femme que je ne connaissais pas il y a encore quelques heures, engloutit maintenant ma verge dressée. Bien malgré moi, je suis supplicié d’une fellation de tout premier ordre. Mon bassin incontrôlable part à la rencontre de cette bouche vorace.
    
    Je crois défaillir. Une main vint enserrer et masser mon scutum, un doigt mutin posé sur mon anus. Elle me pompe désormais, énergiquement, d’une cadence infernale. Jamais je n’ai été sucé de la sorte (désolé ma chérie). Je redoute un instant de déjà rendre les armes. Je stoppe la jeune femme avant qu’il ne soit trop tard, m’assieds dans un fauteuil. Nous n’avons pas besoin de parler, nous ne sommes plus qu’un, en une parfaite symbiose. Elle me rejoint. Pose ses cuisses de part et d’autre des accoudoirs. En appui sur moi, se positionne au-dessus de ma colonne dressée. Lentement, elle descend. Mon gland trouve le passage secret et s’y engouffre. La progression continue et mon jonc disparaît intégralement. Maintenant assise sur moi, pas un centimètre de mon phallus n’a échappé à cette absorption. Dans un climat équatorial, je suis massé. ...
«12...5678»