1. Amazonie (9)


    Datte: 21/03/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Miss Arthur, Source: Xstory

    ... un imbécile, Ma Sœur.— Bien, puisque vous connaissez tout, oui, je me suis battue comme une lionne et je suis peut-être la meilleure contributrice de cette victoire.— Voilà qui est mieux. Qui vous a formée, d’où venez-vous ? Il n’est pas normal qu’une nonne bénédictine soit une combattante, et qui plus est de ce niveau.— Dieu connaît la réponse à vos questions, je lui ai dites sous le secret de la confession. Adressez-vous à lui, il vous le dira.— Ah, vous le prenez ainsi ? Qui était le confesseur ?— Cette information est secrète. Vous n’avez pas à en connaître.— VOUS VOUS FOUTEZ DE MOI ! C’EST MOI QUI DÉCIDE CE QUI EST SECRET OU NON. ET QUI A LE BESOIN D’EN CONNAÎTRE ! hurla-t-il.— Je ne vous dirais plus rien. Demandez à Dieu.— Nous verrons cela. GARDES ! Ramenez la prisonnière dans sa cellule.On me ramena dans ma cellule. Les gardes me firent me dévêtir et c’est nue que j’étais désormais. Mes affaires avait disparu, l’eau, le reste de pain et le seau d’aisance aussi. Je m’allongeai nue sur le bois du lit. J’avais froid. J’essayai de dormir mais n’y parvins pas. Je pensai à Gaspar qui était potentiellement en danger. Je m’interrogeai sur ma stratégie, mais tant pis je décidai de la maintenir.Le deuxième interrogatoire fut un peu différent. Les gardes entrèrent dans ma cellule et me lancèrent de l’eau glacée pour me réveiller. Faute de seau d’aisance j’avais dû uriner et déféquer dans un coin de la cellule. Ils me passèrent des fers aux bras et aux pieds et je dus marcher ...
    ... ainsi, nue, jusqu’à la salle d’interrogatoire. C’était la même pièce, maintenant quasiment vide, plus de table mais une seule chaise. Je vis un crochet au plafond, duquel pendait une chaîne. Je ne l’avais pas remarqué lors du premier interrogatoire. Les gardes accrochèrent la chaîne à mes fers de bras, puis me hissèrent jusqu’à ce la pointe de mes pieds touchât à peine le sol. C’était éprouvant.Mon questionneur entra et s’assit sur la chaise, le dossier devant lui.— Alors Ma Sœur, quelque chose à me dire ?— Allez au diable, lui dis-je.— Notre enquête progresse, nous savons que c’est Frère Gaspar de Carvajal, de l’ordre des dominicains, qui vous a signé vos saufs-conduits pour rentrer en Espagne.— …— Vous ne dites rien ? Notre enquête à Murcie n’a montré aucun souvenir d’une personne de votre âge partie nonne chez les bénédictines et qui plus est aux Amériques.— …— Vous êtes une énigme, une anomalie, Ma Sœur. Vous ne dites toujours rien ?— Laissez Frère Gaspar en paix, il n’y est pour rien. Il ne connaît pas la vérité.— Ce n’était pas lui votre confesseur ?— …— Nous pourrions le faire venir de Quito pour le questionner, mais cela prendrait du temps. (Là je marquai un point)— Votre légende prend l’eau, Ma Sœur, nous savons qu’avant l’établissement de vos sauf-conduits, aucune Sœur Jéromine n’existait à Quito.— Je ne peux rien vous dire, si je le faisais, cela briserait mes serments. Dieu connaît la vérité.— C’est votre dernier mot ? Pour aujourd’hui, j’entends.— Oui.— Gardes, ...