1. Je peux pas confiner, j'ai méditation érogène


    Datte: 21/03/2023, Catégories: f, fh, fhh, inconnu, hotel, cérébral, revede, Masturbation massage, caresses, nopéné, init, initiatiq, Auteur: Olaf, Source: Revebebe

    ... déjà des allées et venues entre les pointes de mes seins et mon ventre…)
    — Rien de tout cela. La cliente est reine et vos désirs sont mes ordres, dit-il d’une voix grave qui allume tous mes chakras d’un seul coup. Vous êtes à la 102, je vous y rejoins.
    
    Comment recevoir un jeune homme qui entre dans toutes les cases de ma libido et qui semble prêt à faire don de son corps à la pratique de la méditation érogène ?
    
    J’opte pour le plus simple appareil, sous le couvre-lit. Si je me trompe sur ses intentions, il restera à distance et on n’en parlera plus.
    
    Sinon, tout se jouera dans sa manière de retirer le couvre-lit et de poser son premier regard sur moi.
    
    Je me retiens de regarder dans la direction de la porte et ferme même les yeux. Quelques minutes plus tard, il entre et s’approche du lit.
    
    Si j’interprète correctement ce que j’entends, il prend le temps de se déshabiller. Parfait, je pourrai le découvrir clé en main plutôt que devoir le déballer.
    
    Il retire ensuite lentement le couvre-lit d’une main, pendant qu’il caresse mon visage de l’autre. Chaude, douce, légèrement parfumée.
    
    Puis il passe ses mains sur mon corps nu, comme s’il savait exactement de quel type de méditation j’ai besoin. C’est doux, c’est fort, c’est rassurant, juste ce qu’il me faut pour m’abandonner corps et âme à ce qui va arriver. Je retrouve les sensations que seule ma thérapeute sait m’offrir.
    
    — Jusqu’où m’offrez-vous votre consentement ?
    — Jusqu’au septième ciel, mais sans ...
    ... pénétration.
    — Je ne pénètre jamais la première fois. Ni la deuxième.
    — Et la troisième ?
    — Nous en reparlerons, murmure-t-il, comme s’il savait parfaitement ce que je tente de faire depuis des semaines.
    
    Commence alors un interminable mélange de caresses, de massage, d’effleurements, de prise en mains, d’alternance de douceurs et d’impertinences, que je reçois dans un étrange état de conscience exacerbée et de lâcher-prise voluptueux.
    
    Le mec s’empare de moi. Et je ne voudrais pour rien au monde que cela cesse.
    
    Mon consentement ? Dès la deuxième caresse, les bornes de ma pudeur et de ma raison n’ont plus de limites. C’est aussi simple que ça. Sauf qu’il semble capable d’une maîtrise hors norme et que je ne suis pas de taille à le démâter d’un simple coup de langue.
    
    Depuis le petit nuage sur lequel il m’a transportée en quelques effleurements, je vois qu’il perçoit parfaitement l’état dans lequel il me met. Il le prouve en posant ses mains sur tout moi, comme l’avait fait ma thérapeute. Ils doivent être jumeaux, ce n’est pas possible autrement. Sauf que s’il pose ses mains de la même manière qu’elle, ses doigts agissent très différemment. Aucun arpège, aucune secousse. C’est pire, c’est délicieux, c’est insupportable.
    
    Avec une lenteur parfaitement calculée, il caresse mes seins à peine un peu moins fort que ce qui m’exciterait vraiment. Plutôt que de titiller mes pointes comme elles attendent de l’être, il alterne un massage circulaire, suivi de délicats pincements, ...
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