1. Je peux pas confiner, j'ai méditation érogène


    Datte: 21/03/2023, Catégories: f, fh, fhh, inconnu, hotel, cérébral, revede, Masturbation massage, caresses, nopéné, init, initiatiq, Auteur: Olaf, Source: Revebebe

    ... frustration qui envahit mon corps et mon esprit annihile toute résistance.
    
    Je pousse donc mon index entre mes fesses et répète le massage du périnée qui avait déclenché les spasmes libérateurs la semaine passée. Dans le même temps, je titille mes tétons en alternance, une fois, deux fois, dix fois.
    
    Un bref instant, je crois arriver à mes fins. Mais c’est peine perdue. Progressivement anesthésiée par une stimulation trop mécanique, toute sensation de plaisir s’évanouit.
    
    Je suis allée trop loin, trop vite, trop fort. Méditation et stimulation n’ont pas progressé en parallèle, je me suis désunie sensuellement.
    
    Pire, mon corps semble maintenant incapable de répondre aux caresses que je m’offre habituellement et qui me donnent une jouissance rapide, parfois même répétée.
    
    De toute façon, les quinze minutes sont largement écoulées. Je cesse donc toute stimulation.
    
    Loin de se liquéfier, la tension dans mon ventre devient alors tyrannique. Un peu de jus coule de ma vulve. J’ai une furieuse envie d’être baisée, crûment, sans ménagement, juste pour que s’éteigne enfin l’incendie qui fait rage au fond de moi.
    
    Je ne peux plus espérer de secours de mes partenaires fantasmés. Ils se sont débinés, comme la plupart des mecs confrontés à une telle situation.
    
    Déçue de mon manque de compétence méditative, je reste allongée, sans forces, des pensées parasites plein la tête.
    
    Au moment de me relever, je n’en jette pas moins un coup d’œil dans le miroir. J’en veux à la ...
    ... jeune femme que j’y vois, incapable de me donner un plaisir un tant soit peu raffiné.
    
    Je finis quand même par lui sourire dans le reflet. Objectivement, mes seins ont fière allure avec leurs bouts raidis et leurs aréoles rouge vif suite aux pincements et aux griffures que je leur ai infligés.
    
    Malgré l’échec, je me trouve belle. Peut-être est-ce ça le but ultime de la démarche.
    
    En signe de pardon et d’amitié, j’empaume doucement mes fruits d’amour. Au moment où je passe machinalement mes pouces sur mes tétons, la réaction tant espérée se produit avec une fulgurance insoupçonnée. Alors que je ne m’y attendais plus, l’effleurement anodin libère une invraisemblable vague orgasmique, dont le déferlement me plie en deux et ouvre toutes grandes les écluses de mon intimité.
    
    La boule de désir qui me torturait se liquéfie d’un coup. À chaque secousse de plaisir, une giclée claire coule le long de mes cuisses. Ce qui me traverse est si fort que je dois me tenir à la chaise pour ne pas tomber à genoux. Longuement, je me vois jouir dans le miroir.
    
    Les doigts de mes mains réunis, je ne cesse plus d’exciter la zone érogène sur laquelle j’ai vainement essayé de me concentrer tout à l’heure. La sensation est très particulière. Comme si ma peau redevenait à nouveau réceptive à des attouchements plus subtils.
    
    Quelques minutes plus tard, enfin apaisée, je peux finir de m’habiller. Je retourne au travail dans un état second, qui rend mon retour dans la réalité particulièrement ...
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