Je peux pas confiner, j'ai méditation érogène
Datte: 21/03/2023,
Catégories:
f,
fh,
fhh,
inconnu,
hotel,
cérébral,
revede,
Masturbation
massage,
caresses,
nopéné,
init,
initiatiq,
Auteur: Olaf, Source: Revebebe
... mon ventre et l’intérieur de mes cuisses. Mes amants imaginaires se font plus pressants. Le plus ardent présente déjà un membre de belle taille entre mes fesses, pendant que l’autre glisse une main entre mes cuisses, tout en tétant goulûment mes seins.
Le deuxième arpège provoque des sensations encore plus folles que le premier. Mon dos se tend, mes cuisses s’ouvrent comme pour faire de la place à un membre viril.
Je dois être particulièrement douée pour la méditation érogène, puisque malgré ma semi-inconscience j’arrive à percevoir les coups de reins dont me gratifie l’amant arrimé entre mes fesses, tout comme la poussée de la tige dure et large de l’autre homme contre les parois de mon vagin.
Pour fantasmée qu’elle soit, la double pénétration me procure des sensations aussi intenses que précises. Ma vulve est en feu, mon clitoris est cruellement en manque de soulagement manuel.
Je dois toutefois lutter contre mes pulsions naturelles, tant l’envie de me faire jouir me taraude. La force de l’habitude. Précisément ce que je dois combattre si je veux arriver à maîtriser la technique érogène.
Le changement de place de mes amants dans mon imagination me permet de retrouver la maîtrise de ma respiration, et de reprendre le cours de ma méditation érogène.
Très érogène puisque sans repasser par la case caresses sur tout mon corps, je m’offre un arpège encore plus affolant que le précédent sur mes tétons déchaînés.
Une boule semblable à celle qu’avait ...
... provoquée ma thérapeute échauffe à nouveau mes entrailles. Je sens monter un plaisir très vif, qui ne demande qu’à se transformer en orgasme. Dans mon délire, mes deux amants se sont emparés de moi, leurs queues gonflées me fouillent profondément, prêtes à juter abondamment.
Une nouvelle salve de secousses sur mes tétons pousse la tension érotique à son paroxysme. Le souffle court, j’arrive au bord de l’orgasme, tendue comme un arc, résumée aux quelques centimètres carrés de mes mamelons qui ne cessent d’envoyer de jouissives fulgurances dans mon bas-ventre.
Les queues qui m’envahissent m’offrent des sensations démentes à chaque pénétration. Et les bougres se démènent comme des diables pour me faire jouir.
Trop captivée par la boule de feu qui prend toute la place entre mes reins, je suis cependant incapable de faire circuler quoi que ce soit le long de mon canal intime.
Dès lors, malgré tous nos efforts conjoints, le basculement désiré ne se produit pas. Je reste coincée, littéralement à deux doigts de l’orgasme, mais incapable de conclure.
En temps normal, j’exigerais de mon amant qu’il m’achève de quelques coups de langue sur mon clito. Sans aide extérieure dans cette chambre d’hôtel, je dois me résoudre à reproduire la manipulation du premier chakra qu’avait réalisée ma thérapeute.
J’aurais voulu décoller sans cet artifice, provoquer l’explosion des sens par la seule stimulation de la toute petite zone de mon corps choisie pour le décollage de ce jour. La ...