Ce n'est pas moi (1)
Datte: 21/03/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Yojik, Source: Xstory
... beaucoup. Zut, j’ai la foufoune qui frétille. J’ai peur d’aller vérifier mais je crois bien que je mouille. Bon, j’espère que ça ne se voit pas. Je regarde mon short. Ok, c’est la honte, on voit une tâche translucide entre mes cuisses. Et re-honte, le gars la remarque aussi. Je ne sais plus où me mettre. Mais à part un sourire en coin il ne fait rien. Je vais le faire accélérer.
— Vous avez bientôt fini ? J’ai froid.
— Oui mais je n’ai pas l’impression que vous avez froid partout.
Il me taquine avec gentillesse. Mais je rougis et j’ai chaud tout à coup. Je le vois déglutir et rougir aussi.
— Vous savez il y a bien des manières de se réchauffer.
C’est quoi ce sous-entendu ? Je le sais très bien et j’en suis choquée. Choquée contre moi car l’image de lui me prenant sur la table de la cuisine me vient à l’esprit. Et en plus elle me plaît cette image. Pourquoi ma libido choisit ce moment pour devenir incontrôlable ? En fait j’espère la mater avant de faire des bêtises. Mais mon sexe coule un peu plus, mes seins sont plus sensibles; cette image les tente. Soudain je vois mon technicien qui me regarde avec un drôle d’air. Je suis troublée et j’ai chaud.
— Alors, vous avez besoin d’être réchauffée ?
— Non pas vraiment, lui dis-je.
Il perd son sourire et j’en suis presque déçue qu’on s’arrête là.
— Je suis plutôt toute chaude...
Ça vient d’où cette voix lascive et sensuelle ? De moi ? C’est moi qui dit ça ? Non, je viens de le penser... Merde, vue la ...
... tête du technicien, j’ai dit ça tout haut. Je ne vais pas me faire tringler par le plombier comme dans un porno bas de gamme ? J’espère bien que si, en fait. Tant pis, ça ne m’arrivera peut-être qu’une fois dans ma vie de baiser avec un inconnu alors je me lance.
— Alors ? le défie-je.
Je fais glisser une bretelle de mon débardeur et j’essaye de prendre un air coquin. Aucune idée de quoi ça a l’air mais le gars semble bien réagir.
— Les gars n’arrêtent pas de dire qu’il y a de temps en temps de sacrées coquines...
— Je suis coquine, moi ?
Et je fais glisser l’autre bretelle. Mon débardeur ne tient plus que parce qu’il s’accroche à mes tétons érigés. Je ne me rappelle pas qu’ils aient jamais fait ça. Le gars s’approche et pose ses mains sur mes seins. Oh, bordel, c’est vrai que ça fait du bien. Mon débardeur est maintenant autour de ma taille. Mes seins sont dans ses mains. Il est collé contre moi et je sens sur mon ventre une certaine protubérance. Il bande bien, je me demande s’il est bien monté. Je pose ma main sur son membre. Il souffle de satisfaction. Je lui fais tant d’effet ? A travers le tissu épais de son vêtement de travail, j’ai du mal à me faire une idée.
Le plus simple est encore d’aller voir de près. Je fais descendre la fermeture éclair de sa combinaison. Il porte un t-shirt blanc mais ce n’est pas ça qui m’intéresse. Je continue et une fois que j’ai ouvert en grand, je plonge ma main vers son caleçon. Ah, voilà la chose. Pas très grande mais ...