1. Quelle balade ! (1)


    Datte: 19/03/2023, Catégories: Hétéro Auteur: JVincent, Source: Xstory

    ... me vider en jets puissants et abondants.
    
    Soulagé, un peu honteux, je me retire et j’entreprends un nettoyage sommaire de ma bite toujours en érection avec les mouchoirs jetables qui se trouvent dans mes poches, avant de remonter mon short. Toujours positionné derrière elle, j’aide Laura quelque peu endolorie à se relever et à remettre sa robe en place afin de retrouver un début de dignité. Elle se retourne et me regarde d’un air mi-boudeur, mi-réprobateur. Je l’embrasse tendrement pour la remercier de s’être ainsi offerte à moi en lui murmurant que je l’aime et que je me ferai pardonner de la manière qu’elle veut dès qu’on sera rentré. Un sourire gourmand et un regard envieux illuminent son visage. Il commence à faire vraiment sombre dans la forêt et il est grand temps de prendre le chemin du retour.
    
    Main dans la main, nous franchissons l’ouverture pour nous esquiver discrètement… et nous tombons nez à nez avec une bande de jeunes, qui n’ont rien dû rater d’une bonne partie du spectacle.
    
    — Putain, qu’est-ce que tu lui as mis à ta meuf !
    
    — Elle a l’air bonne, cette salope !
    
    — Tu te fais pas chier, mon cochon !
    
    Nous avons du mal à discerner le nombre d’individus, mais je distingue au moins trois voix différentes. Sans un mot, tête basse et piteux, nous tentons de nous frayer un passage au milieu de ce groupe qui reste compact. Je peux compter au passage cinq jeunes hommes. L’un d’entre eux passe une main sous la robe de Laura et empoigne une fesse.
    
    — Elle a ...
    ... pas de culotte, cette cochonne !
    
    Dans un réflexe incontrôlé, Laura se tourne vers le garçon à la main baladeuse et le gifle sèchement. Mauvaise idée. Après un court instant de sidération, il lui rend la pareille et lui assène une baffe si violente qu’elle tombe à genoux devant lui, étourdie. Alors que je tente de m’interposer, quatre mains me retiennent et me plaquent fermement au sol. Deux solides gaillards, à genoux sur moi, me maintiennent couché à plat ventre.
    
    Dans la pénombre, de ma position inconfortable, j’aperçois le gifleur, qui a sorti sous le nez de Laura une bite bien dressée et de bonne taille.
    
    — Suce ma teub, sale pute !
    
    — Et puis quoi encore ! lui répond sèchement Laura en sanglotant.
    
    Elle tente de se lever mais les deux mains fermes du quatrième larron l’en empêchent. Elle commence à se débattre en hurlant mais nous sommes désormais seuls dans cette forêt où personne ne passe plus à cette heure. Je blêmis à la perspective du sort qui attend Laura. Je tente de raisonner ces jeunes hommes.
    
    — Les gars, arrêtez-là, laissez-nous partir et on n’en parle plus. Ne commettez pas l’irréparable.
    
    — Dans tes rêves, bouffon. Je vais m’éclater un peu avec ta cochonne de meuf !
    
    Dans un sursaut désespéré, je tente de déloger les deux costauds à genoux sur mon dos. Peine perdue. Pendant ce temps, le gifleur tente en vain de forcer la bouche de Laura, qui reste fermement verrouillée. Face à cette résistance déterminée, il s’accroupit devant elle, désigne ...