1. Quelle balade ! (1)


    Datte: 19/03/2023, Catégories: Hétéro Auteur: JVincent, Source: Xstory

    ... nez. Si la demande n’a rien de romantique, elle a au moins le mérite de la clarté…
    
    Laura est hésitante et timorée. Paradoxalement, la forêt qui s’assombrit peu à peu et nous met à l’abri des regards d’éventuels passants sur le chemin n’est pas de nature à la mettre à l’aise. L’obscurité qui commence à régner a plutôt tendance à l’effrayer. Impatient alors qu’elle ne prend pas l’initiative, je positionne mon gland sur ses lèvres, qui s’entrouvrent pour me laisser le passage. Je commence de profonds va-et-vient.
    
    Pourtant rompue à l’exercice de la gorge profonde, Laura a des haut-le-cœur à chaque fois que mon gland flirte avec son gosier. En fait, à cet instant, ce n’est pas elle qui me suce, c’est moi qui baise sa bouche, sans ménagement. C’est un exercice totalement différent d’une fellation dont elle maîtriserait la profondeur et le tempo.
    
    Est-ce parce qu’elle est crispée ou parce que je procède vraiment de manière trop vigoureuse, toujours est-il que le contact inhabituel des dents de Laura me procure des sensations désagréables. Du coup, alors que j’étais parti pour jouir rapidement afin de libérer la pression avant de passer à une étape plus romantique à notre retour, je me retire de cette bouche aujourd’hui maladroite et je la retourne en l’incitant fermement à se mettre à quatre pattes. Une fois en position, je m’agenouille derrière elle, je soulève sa robe sur ses reins et, après m’être assuré d’un doigt inquisiteur de son bon degré de lubrification, je la ...
    ... pénètre d’une seule poussée. Laura pousse un petit cri, autant de surprise que de plaisir ; elle aime être prise vigoureusement dans cette position.
    
    Mais cet intermède est juste destiné à bien lubrifier ma bite. Deux allers-retours plus tard, je libère son vagin en provoquant au passage un gémissement de frustration et je positionne mon gland sur son petit trou. Le gémissement de frustration se transforme en grognement de réprobation. Je reste sourd et lui assène une claque sèche sur sa fesse droite, tout en lui signifiant de se cambrer à l’aide de ma main gauche. Laura s’exécute docilement… mais sans aucun doute de mauvaise grâce.
    
    Je l’attrape alors par les hanches et j’applique une poussée précautionneuse mais ferme et continue sur son petit trou. Bien que très entraînée à l’exercice de la sodomie, le passage de mon gland, volumineux et très proéminent, est toujours une phase délicate pour Laura quand je l’encule sans préparation particulière.
    
    Grâce à la raideur de mon membre tendu à l’extrême par l’excitation de cette situation exceptionnelle, son petit trou pourtant fermement contracté finit par s’ouvrir et m’aspirer. Ma queue s’enfonce inexorablement avant de disparaître totalement dans le cul de Laura, qui gémit continûment pendant toute ma progression.
    
    Une fois mon pubis collé à ses fesses, toujours agrippé à ses hanches et après quelques secondes passées à savourer ce moment délicieux, j’entreprends un va-et-vient ample et rapide, qui me conduit rapidement à ...