1. La jupe (3)


    Datte: 18/03/2023, Catégories: Transexuels Auteur: trolive, Source: Xstory

    ... au niveau de mon gland devenait intenable aussi je me pliais presque en deux pour qu’elle cesse son mouvement.
    
    Elle diminua l’intensité de ses va-et-vient et desserra l’étreinte sur mes couilles... puis me caressa l’anus doucement de ses doigts pleins de foutre... la tête à nouveau posée sur mon dos...
    
    — C’est la première fois que je serre autant, tu as aimé? S’inquiéta-t-elle retrouvant un ton normal.
    
    — C’était bon mon amour, un mélange de sensation extra... tu as vu ? J’en ai mis partout... t’inquiète, pas sur la robe ! Ajoutai-je, pour la rassurer.
    
    Elle rit doucement.
    
    — Bon, nettoyons tout ça, finissons de t’habiller... j’espère qu’elles n’ont rien entendu en bas.
    
    Je lavai ma bite et l’eau me fit du bien, j’avais le gland en feu et les couilles douloureuses.
    
    — Zut, on a oublié le soutif... constata Bab... allez, hop, attends je t’aide... elle me l’agrafa puis sortit du placard le paquet de ouate et l’agita l’air malicieuse... Elle plaça le coton dans les bonnets en m’expliquant qu’elle en mettait vers 12 ans pour grossir sa poitrine naissante. Puis elle remonta la robe.
    
    Je me regardai dans la glace, maquillé, en robe, avec une poitrine... comme si ce n’était ...
    ... pas moi... comme un écho de moi-même.
    
    — Allez, dépêche-toi... au lieu de t’admirer comme une vraie fille... ironisa Bab.
    
    Je passai les collants noirs de Lydie, la texture sur ma peau était un délice, mais je me gardais bien d’en parler à ma chérie... La robe étant moulante, on apercevait vraiment bien la forme de mon sexe que je "rangeais", devant le regard amusé de Bab, vers le bas, entre mes couilles, pour le rendre le plus discret possible. Cela faisait encore une petite bosse, mais c’était acceptable. Je fus enfin prêt, Elisabeth ouvrit la porte de la salle de bain et demanda :
    
    — Vous êtes en bas ? Devant la réponse affirmative, elle ajouta :
    
    — Bon, on descend.
    
    Elle passa devant moi, après un dernier regard vers le miroir où je ne me reconnaissais que difficilement, je la suivis dans l’escalier.
    
    — Waouh ! Le canon... s’écria Lydie souriante, pendant que sa mère restait muette, m’observant descendre l’escalier.
    
    Avec le recul, maintenant, je me demande si la mère de Babeth n’avait pas compris ce jour-là mon ambiguïté sexuelle.
    
    — Tu vas faire un carton avec les mecs samedi prochain, ajouta Lydie espiègle, puis s’adressant à sa sœur :
    
    — T’es pas jalouse au moins ? 
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