Adieu l'amour (1)
Datte: 14/03/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Amphitryon, Source: Xstory
... ma voisine de devant qui est collée à la barrière. Dans un énième effort de ne pas me faire éjecter du second rang, je tends le bras par-dessus l’épaule de ma voisine, et réussis à attraper la barrière de sécurité.
Ce petit point d’ancrage me permet d’être complètement stable, avec ma grande taille, je pouvais encaisser les vagues sans trop bouger, mais je suis maintenant complètement collé au dos et au cul de ma voisine de devant. A ce stade de la soirée, tout le monde est couvert de sueur et d’alcool, mais grâce à l’enivrement général, les narines ont un seuil de tolérance bien plus élevé, ce qui ne m’empêche pas pour autant de sentir l’odeur de shampooing de la fille de devant, ayant le nez quasiment dans ses cheveux. Elle est déguisée en Indienne, ses cheveux noirs réunis en natte sont tenus par un bandana rouge au sommet duquel trônent trois plumes. Un petit malin essaye de me voler mon haut-de-forme, mais de ma main libre, je le récupère juste au moment où les lumières s’éteignent. Un rugissement de plaisir s’élève quand le groupe apparaît. La musique retentit alors, une balade plutôt sympa à la guitare et au saxo, reprise en cœur par les fans.
Je réussis à attraper une cigarette dans mon short de bain et à l’allumer. Je me laisse porter par le son du saxophone, et réalise à quel point ça faisait longtemps que je n’avais pas ressenti une telle félicité émotionnelle et physique, merde, je crois que je suis heureux. D’ailleurs, il me semble que je ne sois pas le ...
... seul à être pris dans une transe extatique, la foule tout autour semble bouger comme un seul homme, et l’Indienne de devant remue sérieusement du boule. Pris dans l’ambiance, j’oublie l’inexistence de mon sens du rythme et me rapproche encore un peu plus d’elle pour l’accompagner. Je porte une veste noire et une chemise blanche complètement trempée par la sueur, avec ma tête de squelette, c’est tout un style.
Je ne m’accroche plus à la barrière de devant, car plus personne ne pousse derrière moi, et j’en profite pour lever les mains en l’air en me laissant guider par la musique. Je sens alors les mains de ma voisine se poser sur mes hanches pour que je plaque complètement mon bassin contre son cul. La position ne me permet pas de visualiser la merveille qui semble contenue dans son short, mais mon sens du toucher, émoustillé par toutes les émotions que cette soirée m’avait déjà fait traverser, se réveille soudainement, et c’est très agréable. Elle continue de danser tout en bougeant son postérieur de haut en bas contre moi, ce qui a pour effet naturel de lever mes dernières inhibitions.
En clair, je bande, et pas qu’un peu. Mon Indienne semble avoir perçu mon trouble, car elle ralentit ses mouvements de bassin. Mon sexe est à l’horizontale dans mon short, dur comme du béton, et je sens bien qu’elle essaye d’en faire quelque chose quand je sens soudain qu’elle s’éloigne de moi. Toujours de dos, je sens sa main qui empoigne ma queue à travers mon short.
Complètement ...