1. CONSOLATION...


    Datte: 04/09/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... souffla un grand coup comme pour se donner du courage, puis se lança :
    
    - C’est très difficile à dire… crois-moi ! Voilà, je vais me lancer ! Je ne serai pas contre d’avoir une relation avec toi.
    
    Je m’attendais à tout, mais pas à ça. Elle m’avait pris au dépourvus.
    
    - Je ne sais quoi te répondre. Tu m’en bouche un coin, là, ma chère Florence.
    
    - Oui, je comprends bien… mais je voulais que tu le sache. Maintenant je ne te pousse pas à la consommation.
    
    - Florence ! Tu es plein de surprise, à ce que je vois. Tu ne penses pas que le fait que ton couple tangue un peu, cela te fait dire n’importe quoi ?
    
    - Non ! Non ! Pas du tout. Cela fait déjà pas mal de temps que je t’ai dans mon viseur. Mais putain ! Que m’arrive-t-il. Je suis vraiment en train de perdre les pédales… je m’excuse, Alain.
    
    - T’inquiète, la soulageais-je, comme tu sais cela restera entre nous. N’en parlant plus.
    
    - Oui… c‘est ça, n‘en parlant plus.
    
    Cela ne dura que quelques secondes avant qu‘elle s’enflamme à nouveau.
    
    - Excuse-moi de te le dire, mais si tu savais dans quel état d’excitation je me trouve à cet instant. À en avoir la culotte toute mouillée. Cela faisait longtemps que cela ne m’était pas arrivé. Je meurs d‘envie de faire des folies de mon corps, si tu veux le savoir. Je dirai même que je grille en cet instant pour toi.
    
    Voilà ! C’était dit. Une confession comme une autre, me direz-vous. Je suis resté un instant songeur. Un scénario m’a traversé même l’esprit, où je ...
    ... commandais à Florence de retirer sa culotte et de me la donner. Mais pas le temps de m’attarder sur le sujet que déjà ma chère passagère me ramena à la réalité. Elle était toute rouge d’excitation. Tous les traits de son visage s’étaient contractés. Un tic nerveux agitait sa lèvre inférieure. Je me mis tout de suite, mentalement en guette d’un endroit où nous pourrions être tranquilles pour consumer notre effervescence réciproque.
    
    Une fois le lieu défini en tête, je n‘ai pas tardé à mettre le contact pour aller le rejoindre. Du coin de l’œil, je me suis rendu compte que Florence a niché sa main entre ses cuisses. Vue comme ça bouger sous sa jupette, il était facile d’imaginer ce qu’elle était en train de faire. À mon tour j’ai glissé ma menotte droite sous sa jupe, pour me joindre à la sienne. Pour cela j’ai écarté l’élastique de sa culotte. Au toucher, j’ai jaugé qu’ elle était en dentelle. Pour me faciliter l‘accès, elle s’est soulevée légèrement et fit glisser sa culotte le long de ses bottes jusqu’au plancher. Puis elle s‘est avancé sur son siège, écartant les cuisses pour mieux s’offrir à ma main fouineuse. Sa respiration s’est accélérée au fur et à mesure que je la fouillais de mes doigts. Elle les a enduit de sa mouille.
    
    Florence a poussé de petits cris de plaisir, agitant sa chatte contre mes doigts. Très vite son corps s’est tendu et son plaisir a éclaté. Elle a hululé, comme l’aurait fait un oiseau nocturne.
    
    Encore quelques tours de roues, et nous sommes arrivé à ...