Valentine Challenge: les amies d'enfance (2)
Datte: 13/03/2023,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: airdepanache, Source: Xstory
... pareil pour elle, et au bout d’un moment, nos vêtements devinrent des obstacles, à éliminer de toute urgence.
C’était elle l’audacieuse, et c’est donc elle qui déboutonna ma robe, avant de contempler mon corps tout juste vêtu d’une culotte et d’un soutien-gorge de coton, et de mes longues chaussettes de laine.
— Tu es magnifique, mon petit cœur, me dit-elle.
Si j’avais anticipé que je finirais la journée en faisant l’amour, j’aurais opté pour une lingerie plus mignonne, mais comment l’aurais-je pu ? Après tout, c’était avec ma meilleure amie que j’avais rendez-vous, je ne pensais pas que nous allions...
Tout en elle m’intimidait, surtout son désir et la nouvelle manière dont elle, Merle, mettait désormais en scène son corps à travers ses vêtements. Je vis mes doigts trembloter lorsque je posai la main sur elle pour retirer son top court Sailor Moon, et encore plus lorsque je dégrafai sa petite jupe d’écolière. Ça me faisait bizarre de déshabiller une fille, de retirer des vêtements de fille.
Merle sentait bon. Elle portait des dessous verts fluo et des bas résille roses. Ma gorge se noua lorsque je vis son corps, tout en grâce et en beauté fine, le contemplant pour la première fois avec les yeux de l’envie, plutôt qu’à travers les ornières de l’amitié.
On reprit nos caresses, désormais tout juste vêtues de nos dessous.
Plus rien ne m’arrêtait désormais. Je partis à l’assaut de sa clavicule, y déposant un pointillé de baiser jusqu’en haut de son cou, ...
... alors que mes mains caressaient ses seins à travers son soutif. Elle soupira. Cela me fit drôle, d’être à l’origine de son plaisir.
Elle répliqua en m’embrassant tout le corps, de mes cheveux à mes chevilles, en passant par mon visage, ma poitrine, mon ventre, mon cul, mes jambes, et en terminant en me léchant les orteils.
— Je te veux tout entière, s’amusa-t-elle.
Moi aussi, je la voulais. Bizarre de prendre conscience de ça. Curieux que le désir soit plus fort que la peur. J’avais trop envie des pointes de ses seins, que je sentais à travers le tissu. Je tirai sur son soutien-gorge pour les révéler et les prendre en bouche.
— Oh oui... fit mon amie pour accueillir mon idée.
Mais sous mes gestes fébriles, cela devint bientôt trop compliqué, aussi je la dégrafai, et révélai à ma curiosité la poésie de ses petits seins fermes, que je me remis à régaler de coups de langue.
Je ne sais pas trop comment cela s’enchaîna exactement, mais ce fut elle qui me débarrassa ensuite de mes sous-vêtements, et sa petite culotte ne tarda pas à disparaître elle aussi.
Enfin, nous étions nues. Enfin, nous pouvions serrer nos corps l’un contre l’autre sans rien pour les séparer. Pas loin du fou rire, on se mangea de baisers en roulant dans tous les sens sur la fraîcheur des draps. Elle caressa mon dos, pelota mes fesses, massa mes seins. J’en fis autant pour elle.
Au passage de nos jambes qui se croisaient et se décroisaient, je sentis à quel point nos minous étaient trempés, ...