Mon fils, quel homme! (8) - Histoires de Sexe

Mon fils, quel homme! (8)

... l’étiquette, et en effet, il n’y avait que ton seul prénom, mais il était trop tard, le colis était ouvert... J’ai alors vu cette petite culotte à l’intérieur... Toute transparente, vraiment trop sexy ! J’ai commencé à t’imaginer dedans, et l’idée ne m’a plus quittée, malheureusement. Je suis allé dans ma chambre avec le colis, et j’ai pris du plaisir dans la culotte, maman.

— Mais c’est normal Laurent !

— J’imaginais tes fesses à l’intérieur, cela m’a fait jouir très vite. J’avais mis du sperme partout sur le sous-vêtement tout neuf. Je savais que je n’aurais pas dû faire ça, mais je n’ai pas su m’en empêcher. Mon plan initial consistant à tenter de reconstruire l’emballage, et le reposer devant la porte venait tout juste de tomber à l’eau. D’autant que je t’ai entendue rentrer... J’ai donc caché le paquet dans ma chambre et je n’ai rien dit à personne pour la livraison ! Tu t’en souviens peut-être, par la suite tu as passé des réclamations assez houleuses au téléphone, le service client soutenant que le colis était bien livré.

— Oui je m’en souviens très bien... Mince, ils avaient raison !

— J’avais tellement honte. N’empêche ! La culotte choisie par tes soins me hantait, surtout l’idée qu’elle aurait dû mouler tes superbes petites fesses, j’y pensais en permanence. Je me masturbais exagérément avec ton précieux sous-vêtement, mais cela ne me suffisait plus, il m’en fallait toujours plus. Alors un soir j’ai veillé tard. J’avais dans l’idée d’attendre que tu ...

... t’endormes pour entrer discrètement dans ta chambre, et me rincer l’œil.

— As-tu osé ?

— Je l’ai fait, oui. Je suis venu et j’ai soulevé légèrement ta couverture pendant que tu dormais, j’ai vu tes seins dans la pénombre. Mon cœur battait très fort. J’ai reposé la couverture doucement et je suis retourné dans ma chambre. Je ne t’explique pas, ce soir-là ta culotte a pris cher ! Mais j’avais goûté cette aventure, et l’envie d’y retourner n’allait pas me passer de sitôt !

— Es-tu donc revenu ?

— Oui maman, à partir de là, je suis revenu de plus en plus souvent, et j’osais de plus en plus de choses ! Par exemple, je laissais la lumière dans le couloir pour mieux te voir, mais sans trop risquer que cela ne t’éveille. Je te retrouvais systématiquement allongée sur le dos, je soulevais un peu ta couverture et je regardais tes seins. Ils étaient magnifiques ! Et ils le sont toujours maman. Une fois que je m’étais bien rincé l’œil, je remettais ta couverture en place, et je retournais dans ma chambre pour éjaculer dans ta culotte.

— Quel gâchis ! Continue...

— Et puis une nuit, je suis rentré dans ta chambre comme je le faisais d’habitude. Il devait faire un peu plus chaud ce soir-là, va savoir... Toujours est-il que tu étais complètement nue, couchée sur le flanc au bord du lit, de l’autre côté duquel ta couverture pendait au sol. J’étais pétrifié, je voyais distinctement ces divines fesses que j’avais tant fantasmées. Elles étaient là, à ma portée, et je bandais comme ...