1. Mon fils, quel homme! (8)


    Datte: 11/03/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Alex15, Source: Xstory

    Claire ajoute, empressée :
    
    — Moi j’ai adoré, il a vraiment bon goût, ton sperme !
    
    Taquin, Laurent réplique alors :
    
    — L’ignorais-tu ?
    
    — Mais non, je le savais déjà ! J’y ai goûté dans la culotte... Ainsi que... tout à l’heure, quand tu m’as fait l’amour ! Comme je sentais quelque chose s’écouler de moi, j’ai mis la main, et mes doigts ont attrapé une grosse gourme de sperme ! Je n’ai pas voulu gâcher, et je l’ai portée à ma bouche, précise-t-elle, en éclatant de rire au nez de Laurent.
    
    La forte odeur de bite, ou de couilles, ou du mélange des deux, couplée au bonheur que sa mère affiche après ce moment intense, bouleverse Laurent.
    
    Resplendissante de candeur, elle poursuit :
    
    — Mais savourer ton sperme juste après avoir ressenti toute la fougue avec laquelle tu éjacules, ça n’a pas son pareil ! Je t’entendais gémir, ta queue se contractait, ton gland était fiévreux et le sperme affluait à l’intérieur de ma toute petite cavité buccale. C’était onirique comme expérience, exactement comme dans mes rêves !
    
    Il relève :
    
    — Tes rêves, maman ?
    
    — Eh bien... Contrairement à toi, cela ne fait pas si longtemps que je t’envisage autrement que comme un fils. Je ne sais pas... C’est sans doute un ensemble de choses : d’abord le manque d’homme, et puis ton prochain départ, sans oublier ces incidents répétés avec ma lingerie... Bref, jusqu’à aujourd’hui, je ne voulais pas l’admettre, mais depuis environ six mois, je fais des rêves dans lesquels j’ai des relations ...
    ... sexuelles avec toi ! Toujours le même rêve, à vrai dire !
    
    — Raconte-le-moi, s’il te plaît !
    
    — Voilà ! Tu commences par me dire que tu t’en vas, tu prépares ton sac, et pendant ce temps, je pleure et je fais tout pour te retenir, mais tu n’entends rien, tu ne me vois même pas. Alors en désespoir de cause, je commence à me déshabiller, juste à l’instant où tu saisis la poignée de la porte. Tu te retournes, et enfin, tu me vois. J’ai mis de très jolis dessous, alors tu refermes la porte et tu t’approches de moi. Lorsque tu es devant moi, je défais ton pantalon, et je te fais une fellation...
    
    — Il se termine ainsi, ton rêve ?
    
    — Oh non, mon chéri, mais cela m’émeut beaucoup d’en parler avec toi... Donc je te fais une fellation, et je m’applique, si bien que tu jouis vite, et très abondamment. J’avale alors tout ton sperme avec délectation, tu me regardes faire et cela te rend tellement heureux que tu me dis vouloir rester avec moi. Je suis comblée, et tu m’entraînes dans ta chambre, où nous faisons l’amour jusqu’à ce que je me réveille.
    
    — C’est un très joli rêve, maman ! Mais j’ai l’impression qu’il révèle une blessure très ancienne, je me trompe ?
    
    — Tu es adorable, tu me comprends comme personne ! Je peux t’avouer maintenant que ton père insistait toujours pour me mettre sa queue dans la bouche, mais je refusais, cela me dégoûtait ! Il nous a quittés à cause de cela, et on ne l’a plus jamais revu. Depuis, je culpabilise souvent en pensant qu’il m’aurait été facile ...
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