Mon épouse et le médecin (6)
Datte: 11/03/2023,
Catégories:
Transexuels
Auteur: luc_marie92, Source: Xstory
Au fil des semaines, s’est donc mise en route une audacieuse opération « Fantasme à réaliser » dans mon couple endormi. Assez rapidement je me suis vu délaissé par Marie mon épouse, soudain plus occupée à s’envoyer en l’air avec son amant Marc. Ce médecin mature et bienveillant, que j’avais personnellement recherché, s’est d’abord appliqué à satisfaire notre soudaine envie de liberté, au mieux de ses compétences… Puis à dépasser sa mission initiale. De bonne guerre : Marc a juste poussé son avantage. Paul Le Psy, son complice, désormais s’associe à la tâche et les deux accueillent également Nicole La Cochonne comme camarade de jeux.
Et moi ? Je suis Luc. Vous vous souvenez ? Luc, cet époux désireux de briser la routine... Et qui se retrouve désormais à calmer ses obsessions sur un réseau téléphonique, pour des conversations en "dirty talk", ou "parler cochon".
Avec des hommes, le plus souvent. Les femmes adeptes de ces jeux sont rares.
J’essaie sur ce réseau surtaxé de m’assumer dans le rôle du cocu que la situation excite, en même temps qu’elle le perturbe. Parfois je trouve à dialoguer avec un homme dominateur qui m’insulte, me rabaisse, se tripote probablement en m’expliquant qu’il saura faire crier Marie bien plus que ses amants réels. Le dominateur est toujours lourd dans l’expression. Il donne dans la facilité. Aussi sensuel qu’un gardien de Centrale dans l’exercice de sa fonction.
Parfois je trouve un autre cocu, comme moi, et nous échangeons des ...
... confidences de cocus. Je remarque alors que souvent, ces maris délaissés se consolent en exprimant à haute voix comme ils se sentent dévalués, dévirilisés. Et comme ils y prennent un plaisir qu’on pourra qualifier d’assez masochiste.
Ils se voient devenir "des lopettes". L’admettre manifestement les soulage. Ils insistent sur la taille modeste de leur pénis, par rapport à la grosse queue toujours tendue de l’Amant. Ils parlent de leur zob comme "d’un macaroni", d’un "petit cornichon". Souvent, ils avouent au bout de quelques minutes qu’ils aimeraient, oui, assumer cette dévirilisation pour sucer le beau membre dressé de l’amant viril. Et sur leur lancée, se risqueraient même à se faire « démonter » par lui. Existe aussi l’option « en portant des lingeries de femme ». De LEUR femme, pour peu que les tailles soient compatibles.
J’ai ainsi discuté avec différents hommes, et me suis senti devenir assez vite accro à ce schéma. Avec l’un d’eux, le feeling passait singulièrement, et j’en étais moi-même surpris. Cet adepte d’un candaulisme un peu humiliant se retrouvait gémissant au téléphone, se masturbant sans retenue. Dans son délire, il m’appelait "mon amour", et je me suis entendu lui répondre "ma chérie", tout en me caressant moi aussi. Nous avons joui fort nous imaginant devenues femelles, évoquant verbalement des échanges de caresses on ne peut plus osées. Ce n’était pas tout à fait un "plan Gay". Plutôt quelque chose à mi-chemin entre l’Hétéro sur le sentier du Bi, et le ...