1. Cédric n'est plus un enfant (8)


    Datte: 11/03/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Cedric, Source: Xstory

    ... m’arrêter ?
    
    Et tout en parlant, il pousse plus fort, essaye de la pénétrer jusqu’aux couilles si c’est possible. Elle se cambre d’un coup, pousse un petit cri de douleur satisfaite.
    
    — Non, impossible. Je suis à toi.
    
    — À moi ? C’est-à-dire ?
    
    Et il s’enfonce encore, avide, sauvage, dominant.
    
    — Aaaah... - Elle reprend son souffle - À toi, toute entière. Ma chatte, mon cul, mes seins, ma bouche. Tu prends ce que tu veux quand tu veux. - Il commence à aller et venir, encore tendre. - Aaaah...
    
    Ses râles, ses mots. Il essaye de ne pas disjoncter. Et puis, cette rondelle qui l’enserre, qui l’aspire, qui l’enivre. Il fait tout ce qu’il peut pour ne pas jouir trop vite. La sensation est nouvelle, la pression qui entoure sa bite toute nouvelle, plus intense, plus forte et envoie des frissons d’une intensité extrême à chaque mouvement.
    
    Sa mère aussi semble avoir pris un nouveau virage. Elle parle, des mots crus, des idées folles. Elle tend ses fesses en arrière à la rencontre de ce pieu de chair qui s’enfonce en elle et lui écarte le cul.
    
    — Je suis à toi, mon corps est à toi. Tu en fais ce que tu veux, quand tu veux. Prends mon cul, encule-moi. Ne t’occupe pas de moi et jouis. Je veux te sentir couler en moi, sentir ton foutre, ton sperme. Baise-moi.
    
    Les mots s’échappent à voix basse, mais l’effet en est redoutable, délicieux. Cédric n’ose pas tout à fait lâcher la bride, se laisser aller comme il imaginerait le faire. Il voudrait lui tenir les cheveux en ...
    ... arrière et s’en servir pour la bourrer fort, profondément. Il voudrait la traiter de salope, de pute, de chienne, de garage à bites. Il voudrait lui intimer de sucer d’autres queues alors qu’il l’encule. Mais il a peur, peur de la bloquer, d’aller trop loin, de la choquer et de la perdre. Et pourtant, ses mots à elle, les mots de sa mère parlent de foutre, de bite, de cul, de chatte. Elle parle de sentir son sperme couler dans sa culotte quand elle se lèvera. Elle parle de se faire bien baiser, bien enculer, de lui vider les couilles.
    
    Il a honte aussi. À cause de ses fantasmes, de ses envies de la malmener, de la dégrader. Il a honte parce qu’en plus, il n’arrive même pas à trouver le courage d’esquisser quoi que ce soit d’un peu hard. Les mots qu’il voudrait dire restent coincés au bord de ses lèvres, les gestes qu’il voudrait faire semblent impossibles tant ses bras pèsent des tonnes. Et elle pourtant s’offre à lui comme elle ne l’avait encore jamais fait, lui parle comme il en a toujours eu envie. Il ne la reconnaît pas vraiment, mais tous ces mots l’emportent. Il sent que ça vient, que ça monte en flèche.
    
    — Tu sens comme je serre mon cul.
    
    Et elle le fait, elle sert son anus fort autour de sa queue et d’un coup, vient à la rencontre de ses allers-retours. Il n’en faut pas plus, il agrippe ses cheveux, tire dessus sans retenue, emporté par un orgasme qu’il ne connaissait pas. Il s’enfonce le plus loin possible en elle, gagne encore quelques millimètres supplémentaires, ...