1. Cédric n'est plus un enfant (8)


    Datte: 11/03/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Cedric, Source: Xstory

    ... le mélange de sperme et de cyprine agissant toujours comme lubrifiant. Il progresse par millimètre, à peine. Qu’est-ce que c’est serré ! Il ne sait pas du tout s’il pourra résister à l’effet de cette nouvelle sensation. Son gland est presque entièrement entré quand Karine bouge, se replace, pousse une sorte de gémissement. Cédric est immobile, statufié. Son gland s’échappe et tout est à recommencer.
    
    Karine, en se replaçant, lui facilite finalement même un peu la tâche. Elle a les fesses plus en arrière. Il veut y retourner, retenter sa chance. Il repasse doucement son gland sur les grandes lèvres saillantes de la chatte maternelle et y prélève le jus épais du bout de la queue.
    
    Doucement, avec mille précautions, il écarte les fesses et place sa tige juste à l’entrée. Il pousse, doucement, mais fermement. D’un coup, la résistance cède et l’œillet s’écarte, le laissant pénétrer. Il choisit la stratégie d’une pression continue pour une progression constante plutôt que de revenir à l’assaut par petits coups. Millimètre par millimètre, il se sent aspiré dans l’orifice interdit, la rondelle l’enserrant avec une pression délicieuse. Il se mord la lèvre, retient sa respiration, la pénétration est délicieuse. C’est si bon de se sentir tellement enserré, tellement happé.
    
    Karine bouge encore, il se bloque, espère qu’elle ne s’écartera pas, qu’elle ne s’est pas rendu compte de ce qu’il fait, mais elle bouge trop, gémit doucement. Elle lève un peu son bras droit et le ramène ...
    ... vers Cédric. Son cœur lui donne l’impression qu’il pourrait bondir hors de sa poitrine. Elle pose sa main sur lui, et sans ouvrir les yeux, elle l’incite à la pénétrer davantage, un petit gémissement satisfait indiquant même un soupçon de plaisir. Dans la tête de Cédric, c’est le court-circuit, le déclic. Elle est réveillée, elle a envie de lui et surtout, elle a envie de lui comme ça, dans le cul, en sodomie.
    
    La main de sa mère le caresse, l’incite à aller plus loin, à accentuer la pression. Il plonge le visage dans sa nuque, dans ses cheveux et pousse le bassin en avant. Elle gémit plus intensément et glisse un « Doucement, s’il te plaît » tendre.
    
    Mais lui a vu les photos d’elle, il l’a vue s’enfoncer un gode prodigieux dans la chatte et le cul, prise par tous ces hommes à la fois, souillée par ces bites avides, radieuse dans sa déchéance de salope avilie. Depuis, il l’a fantasmée de toutes les façons, prises par chaque orifice, empalée sur des godes et des bites à faire pâlir la patronne d’un bordel militaire ; il l’a rêvée salie et humiliée, le cul béant et implorant une pause alors que des mâles en rut se préparent à la saillir encore et encore ; il l’a voulue réduite à l’état de pute, d’objet sexuel dont les orifices suinteraient la semence d’inconnus brutaux et irrespectueux. Doucement... Il n’est pas sûr d’en avoir très envie. Doucement, ça ne correspond pas à son fantasme. Alors, doucement... C’est non.
    
    — Et si j’ai pas envie de faire doucement, tu vas ...