1. Le Manoir McLaughan - Chapitre 5


    Datte: 04/09/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Ambel, Source: Hds

    ... concentrer ailleurs.
    
    C’était ma seule chance d’échapper à ce monstre, et de prouver à mon mari qui il était vraiment. Je marchai le plus rapidement possible vers la sortie, et regardai au dehors. Par chance, Albert avait laissé la porte entrouverte, pensant certainement qu’il me serait impossible d’arriver jusqu’ici. Il faisait jour, on devait approcher de midi, et il ne pleuvait plus, bien que tout était détrempé.
    
    Je m’engageai prudemment sur le chemin de terre qui menait à l’entrée du domaine. Il fallait que j’atteigne la route au plus vite, peut-être que quelqu’un me trouverait alors. Peut-être même que mon mari n’allait plus tarder. Bien qu’il fut assez boueux, le début du chemin semblait assez stable. Je commençai donc à courir à tout petit pas, mes seins lourds ballotant à droite à gauche, avec mes mains coincées derrière mon dos qui ne m’aidaient pas à garder l’équilibre. De plus, le plug remuait en moi, créant une douce sensation agréable qui me déconcentrait à chaque instant.
    
    J’accélérai autant que je le pus, et je sentis que le sol était de plus en plus meuble devant moi. Ça et là, des flaques d’eau boueuses éclaboussaient mes cuisses lorsque je mettais le pied dedans. Je crus entendre du bruit derrière moi alors que je dépassai le manoir. Je regardai dans toutes les directions, y compris vers le manoir, mais il n’y avait personne. Je continuai à courir malgré tout, mais le sol finit par avoir raison de moi. Mon pied droit s’enfonça un peu trop dans la ...
    ... terre détrempée, je tentai de rétablir mon équilibre par le gauche mais la chaîne m’empêcha de faire un grand pas, et je me sentis basculer. Je m’étalai alors de tout mon long dans la boue, la tête la première, sans aucun espoir d’amortir ma chute avec mes mains attachées.
    
    Ma tête s’enfonça dans la boue, tout comme mes seins. Je réussis à la retirer au prix d’un bel effort, mais j’étais totalement aveuglée. Je tentai de me tortiller pour me redresser, mais je ne pus que me frotter sur le sol, tandis que je m’imaginai nue, pleine de boue, les mains attachée, bâillonnée, et rampant comme elle pouvait pour s’échapper.
    
    Après quelques minutes d’efforts vains, j’entendis très distinctement plusieurs bruits d’appareils photos, le même genre que ceux de la nuit précédente. Je pensais qu’Albert avait dû emprunter l’appareil photo de mon mari, lorsque j’entendis :
    
    « Je ne veux pas me salir pour aider Madame. Madame a désobéi et devra se charger toute seule de se sortir de cette situation. Que Madame se tourne sur le dos, ce sera ensuite plus simple. »
    
    Avec colère et l’énergie du désespoir, je réussis à me basculer sur le dos, au prix d’un nouvel effort. Mes fesses plongèrent à leur tour dans la boue. Je sentais le liquide visqueux s’introduire dans mon vagin, mais je n’avais pas le temps de m’arrêter à cela.
    
    « Encore un effort, que Madame montre qu’elle a de beaux abdominaux, en plus de ses belles fesses et ses beaux seins. Madame doit se mettre sur les genoux, et elle ...