1. Le Manoir McLaughan - Chapitre 5


    Datte: 04/09/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Ambel, Source: Hds

    -- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
    
    « Madame a-t-elle faim ? »
    
    Je hochai la tête, des larmes coulant toujours de mes joues. Je me redressai doucement de la table. J’avais dû m’endormir un moment, mais je n’avais aucune idée de l’heure qu’il était. Une douleur s’empara alors de ma poitrine, sans que je comprenne tout de suite de quoi il s’agissait. En regardant mes seins, je vis qu’Albert y faisait couler de la cire chaude de deux bougies rouges. La cire atteignait mon corps en le brûlant, puis y restait collée.
    
    « Madame promet d’être sage ? »
    
    Je hochai à nouveau la tête, trop faible pour bouger de toute façon. Je sentis alors qu’on me détachai, tout en me laissant les menottes et le bâillon, puis des mains me soulevèrent et me déposèrent sur le fauteuil percé que j’avais vu précédemment. Là, enfin, la boule me fut ôtée de la bouche, mais je restai silencieuse. Je sentais toujours le plug bien enfoncé dans mon anus, et j’avais du mal à distinguer le visage d’Albert, mais c’était bien lui qui me tenait prisonnière de cette affreuse grange.
    
    « Je ne peux libérer Madame pour le moment, j’ai peur qu’il soit trop tôt et que la punition n’ait pas été tout à fait assimilée. Alors je vais lui donner à manger. Si Madame se conduit convenablement, je ne la fouetterai pas. »
    
    L’humiliation suprême : Albert coupa ma viande et me donna les morceaux les uns après les autres, comme un enfant d’un an. Il sembla prendre un malin plaisir à rater un peu ma ...
    ... bouche pour chaque fourchette de purée qu’il me donnait, ce qui eut rapidement pour effet de m’en mettre un peu partout sur le visage. Mais ce fut pire avec la crème au chocolat, qu’il n’eut aucun remords à renverser délibérément sur ma poitrine qui lui était offerte.
    
    « Oh, que je suis maladroit. Madame voudra bien m’excuser, je vais lui en chercher une autre. Je vais quand même lui remettre le bâillon, au cas où. Je le vis s’éloigner, et me regardai un moment. J’avais toujours les mains menottées dans le dos, j’étais à nouveau incapable de parler, et j’avais des talons avec lesquels il était difficile de marcher. Les chaussures étaient bien cadenassées au niveau de la plus haute boucle pour m’empêcher de les retirer. Je n’avais pas fait attention, mais une chaîne assez petite reliait mes deux jambes. De sorte que, non seulement l’équilibre était compliqué avec ce type de chaussures, mais j’étais condamnée à faire de tous petits pas.
    
    Je me levai malgré tout du fauteuil, et fis quelques pas pour me détendre les muscles. Mon fessier me faisait toujours mal, mais, à ma grande satisfaction, je réussis à marcher presque normalement, malgré le sol irrégulier de l’écurie. De la crème au chocolat coula le long de mes seins et pris inlassablement le chemin de mon sexe, mais je ne puis l’arrêter. Comme j’étais entièrement épilée, rien n’empêcha le chocolat de recouvrir rapidement mon clitoris. En temps normal, j’aurais certainement apprécié la scène, mais cette fois, il me fallait me ...
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