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Monstre ou déesse ? (1)
Datte: 04/09/2018, Catégories: Divers, Auteur: Persea, Source: Xstory
... pas ! Ils sont gros et fermes… Sensibles aussi ! Je sens bien ton téton durcir et pointer… Tu le sens aussi hein chérie ? Malheureusement oui ! Sous la palpation de Roger, mon sein se pressait dans sa main comme s’il recherchait du plaisir malgré moi et tout mon corps frissonnait. Le rouge de la honte me brûlait le visage et j’aurais voulu pouvoir rentrer dans un trou de souris. Au lieu de cela, mon corps se laissait aller contre la chaleur du grand corps de Roger, comme alangui. L’homme sentait bien qu’il pouvait maintenant faire de moi ce qu’il voulait. Il remonta mon sweat et se pencha pour téter mon mamelon tout durci. Une onde de plaisir me parcourut aussitôt tout le corps. Les lèvres chaudes de Roger pompaient et trituraient mon téton. Je gémis et me laissai aller en arrière, les seins pointés en avant. — Putain ! s’exclama Roger. T’es vraiment trop bonne… J’te veux à moi. On va ramasser tout ça et tu vas venir chez moi… C’était hors de question que je me retrouve chez ce vieux vicelard. Qui sait ce qu’il avait en tête… Je me dégageai et commençai à ramasser les ordures qui jonchaient les marches. Roger m’aidait mais je voyais bien du coin de l’œil qu’il n’arrêtait pas de mater mes seins ou mes hanches… À un moment, je sentis sa grosse main me peloter les fesses : « Putain de merde, même ton cul est trop bon… » Moi qui tentais par tous les moyens de camoufler mes formes sous des vêtements amples et trop grands, cet homme venait de tâter et de dénuder ...
... mes seins et maintenant le voilà qui palpait mon cul sans vergogne dans la cage d’escalier de notre immeuble… Je me dépêchai de nettoyer les marches et de descendre les sacs poubelle en bas. Quand je remontai, Roger m’attendait tranquillement sur notre palier avec la porte de son appartement grande ouverte. Je fis mine de contourner notre voisin pour me diriger vers notre appartement à nous mais l’homme me barra le passage et me poussa violemment dans son vestibule. L’instant d’après la porte se refermait et je me retrouvai prisonnier de ce pervers. Les larmes me montèrent à nouveau aux yeux et je me recroquevillai contre le mur de son couloir. — N’aie pas peur chérie, je vais pas te faire de mal… bien au contraire… Ces paroles étaient loin de me rassurer et je me ratatinai encore plus sur moi-même. Roger s’arc-bouta contre le mur, les deux mains de chaque côté de ma tête et m’observa pendant quelques instants. Il me dominait de toute sa hauteur et de toute sa puissance. Je me sentais fragile, sans force et complètement à sa merci. — T’es quand même une sacrée belle garce ! fit-il enfin… quand je dis belle garce, te méprends pas. Je veux simplement dire que t’es sacrément bonne c’est tout. Tu me fais bander, tu le vois ? Involontairement je baissai les yeux et remarquai seulement la bosse qui déformait l’entrejambe de Roger. Je rougis à nouveau et me sentis envahi par une espèce de fièvre brûlante sans comprendre ce qui m’arrivait. Jusqu’à présent je ...