1. L'enfoutreur (7)


    Datte: 10/03/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... deux queues à la fois si les circonstances le permettaient.
    
    Je ne pouvais pas voir son visage en entier, mais ce que j’en apercevais avait un je ne sais quoi de familier ; sans doute m’évoquait-il les traits réguliers d’une madame Sainte-Nitouche, bourgeoise apparemment rangée, mais très salope. Elle ne disait rien, ne répondant que par des gémissements ou des coups de reins quand on lui disait : "t’aimes encaisser la bite hein vieille truie" avec cet accent de vice si particulier que l’on prend et qui déforme un peu notre voix quand on queute et que l’on parle entre les dents en la forçant un peu.
    
    Les gars étaient endurants et je m’étais laissé gagné au jeu. Je foutais ma pine dans le trou qui se présentait. Les femmes étaient très salopes, suçaient bien, bougeaient bien et quand nous étions à deux ou trois sur une de ces putes, les autres s’occupaient des mâles restant ou se bouffaient la chatte mutuellement pour s’entretenir.
    
    Ce fut Jérem qui juta le premier, droit dans le vagin de la patronne, la seule rousse, qui n’avait donc pas besoin de masque, mais qui en portait un quand même.
    
    Comme j’aime le sperme, je ne laissai à personne le soin de prendre la place de mon pote et plongeai mon nœud dans l’antre plein de foutre où il coulissa à merveille, emmenant la pute vers un nouvel orgasme.
    
    Bite 2 ’s’épanchait pendant ce temps là entre les globes mammaires de la plus jeune. Quant à moi, ce fut la bouche pulpeuse de la nana que j’avais vue en photo qui avala ...
    ... toute ma sauce.
    
    Les gars qui avaient eu recours à la médication se remirent illico à l’ouvrage. Quant à moi, je me retirai dans un coin, attendant que cela remonte tout seul.
    
    Jérem fit comme moi.
    
    Le patron, nous voyant dans l’inactivité, nous demanda de réaliser un petit reportage photographique des participants restants.
    
    Nous nous mîmes à circuler bombardant sous tous les angles les différentes positions en écartant brutalement les femmes trop gourmandes, que nous n’étions pas en vouloir ni pouvoir de satisfaire, et que la rareté des mâles en rut rendaient exigeantes et qui cherchaient à nous palper le paquet encore mou. Elles réclamaient aussi qu’on les prit en images et pas simplement en levrette, pour garder un souvenir.
    
    Les gars en faisaient autant, mais pour d’autres motifs. Leurs prouesses les amenaient à une certaine forme d’exhibition et de compétition et ils insistaient pour qu’on capturât leur virilité sous tous les angles et à leur avantage.
    
    C’est lors d’une de ces prises que se produisit un incident, pire, une catastrophe.
    
    Deux femmes étaient tête-bêche, la 2 et la 5, l’une (la 2) bouffant la chatte de celle qui était sur le dos et celle-ci tentant de lécher les couilles du beur qui sodomisait celle du dessus, lequel de temps en temps sortait du cul et lui faisait pomper son gland. Elles étaient très salopes, parlant peu, gémissant beaucoup, avides de prendre la bite.
    
    Je les avais baisées toutes les deux avec un certain plaisir, la 5 surtout ...