1. L'enfoutreur (7)


    Datte: 10/03/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... et ça sentait déjà bien la chnèque dans la piaule. Elles s’étaient doigtées évidemment et même gouinées.
    
    Chacune avait un numéro correspondant au nôtre, dessiné au rouge à lèvres sur le cul et une phrase ou un mot d’invitation explicite : "Pute, prends-moi, bourre-moi la chatte, prends-moi dans le cul, Chienne en chaleur, trou à jus".
    
    Nous devions saillir celle qui nous était attribuée pendant quelques minutes, puis on tournerait.
    
    La mienne avait un gros cul. J’aime bien les culs bombés et musclés, mais le sien était une montagne de graisse. Je lui donnai une claque violente qui fit se trémuler les chairs. Je décidai de la sodomiser et pris l’un des nombreux tubes de gel à disposition. Le temps que j’enduise bien mon gros zob et déjà, à côté toutes les meufs couinaient. Les gars avaient tous choisi de les prendre dans la chatte en levrette à l’exception de bite 2 qui voulait sans doute ranimer sa vieille quéquette avec une fellation. La fille dégagea la voilette de son loup et avala le bâton qui avait pris une belle rigidité.
    
    J’enfonçai mon dard dans le gros cul en faisant crier la meuf : "Aïe, elle est énorme, ça me déchire !"
    
    — C’est fait pour ça cochonne ! Ta gueule et encaisse !
    
    Je me mis en bouledogue sur ma grosse, attrapai sa plantureuse poitrine et la déboîtai avec rage.
    
    Mais déjà, au signal, il fallut changer de femme. Celle-là était plus jeune.
    
    — Sur le dos, salope !
    
    Elle s’y mit, je lui relevai les jambes, pliées vers son torse, dans la ...
    ... position dite de la "fleur éclatée" et lui éclatai bien, précisément, sa chatte tout humide. Elle poussa également un cri de satisfaction et n’arrêta pas de pigner à chaque coup de bite.
    
    La pièce n’était que cris, gémissements, insultes, bruits de chairs entrechoquées.
    
    Il y eut un deuxième changement puis tout se dérégla. Bite 1 avait fait mettre une femme en missionnaire et une autre salope était venue se mettre en 69 au-dessus. Ainsi il pouvait faire passer sa bite de la chatte de l’une à la bouche de l’autre qui se faisait copieusement casser le cul par la solide matraque de bite 3.
    
    Chacune de ces putes avait, en quelque sorte sa spécialité. Il y avait la 2, ma fameuse pipeuse, experte en fellation. La 3 était une "rideuse", si je puis utiliser l’anglicisme ; une chevaucheuse de bites, absolument démontée quand elle enfourchait une queue et faisait un rodéo dessus.
    
    J’aimais bien la 5, plus polyvalente car, d’après moi, plus âgée. En la grimpant en levrette, je pus voir à leur racine, dont je ne pus cependant pas nettement deviner la couleur, qu’elle se teignait les cheveux. Et comme elle n’avait aucun poil sur la chatte, j’en restai là de mes conjectures. Sa peau était bronzée, cuite par les UV. Elle avait de gros seins qui comprimaient bien la bite et, excellente pompeuse elle aussi, elle avalait en gorge profonde. Elle bougeait bien son cul quand, en levrette, je lui enfonçai le pieu à fond et ne méprisais pas de bouffer la chatte de ses copines ou de branler ...