Car de nuit
Datte: 09/03/2023,
Catégories:
f,
h,
hplusag,
inconnu,
grossexe,
bus,
odeurs,
ffontaine,
Masturbation
nopéné,
occasion,
Auteur: PamelaPopo, Source: Revebebe
... leur secouer leur machin pendant cinq ou six minutes et ça venait. Elle considéra cette quantité de foutre qui coulait sur sa main en regrettant la belle sucette dont elle s’était privée. Il y aurait vraiment eu de quoi rassasier la plus vorace des coquines.
La branlette terminée, elle garda encore un peu cette belle queue dans sa main en contemplant sa victime. Face rougie, Porcinet était rincé. Il venait de lâcher une sacrée purée, mais il ne débandait pas pour autant. Quelle santé ! Un instant, Manon imagina qu’elle se déboutonnait le pantalon, s’écartait la culotte et qu’elle venait s’empaler sur ce mandrin huileux. Ce n’était pas l’envie qui manquait et elle était certaine que, malgré la taille, vu son état ça serait rentré comme dans du beurre et que, là non plus, personne dans le car n’en aurait rien remarqué.
À contrecœur, elle finit par le relâcher. Elle avait du sperme plein la main et des effluves enivrants flottaient dans l’air. Elle se résolut à glisser sur sa droite pour retourner à sa place, en prenant soin de se frotter les doigts sur les sièges pour s’essuyer au mieux. Dans son coin, Porcinet se reculotta et, l’air embarrassé, il lui adressa un timide « merci ». Sans lui répondre, Manon tourna la tête vers la vitre.
Elle consulta son téléphone. Encore quarante bonnes minutes avant d’arriver. Elle se ...
... mit aussitôt à gamberger. Quelle salope ! Elle venait de masturber un parfait inconnu dans un lieu public. Inconnu qui, au demeurant, et c’était un euphémisme, n’avait en réalité pas grand-chose de parfait, hormis son bel organe. Mais tout de même, comment avait-elle pu faire un truc pareil ? Sans compter qu’elle avait dû batailler ferme contre l’envie d’aller plus loin, beaucoup plus loin. Le sordide de la situation aurait dû lui répugner, la dissuader, mais au contraire, c’était justement cet ingrédient qui l’avait excitée comme jamais. En réalité, elle avait rudement aimé ça et ne regrettait rien.
Pire… en toute discrétion, elle ne pouvait maintenant s’empêcher d’approcher sa main de ses narines pour la renifler et elle se délectait de ce parfum qui la laissait songeuse. Décidément, cette semaine avait été celle des découvertes et elle sentit qu’elle mouillait de plus belle. Il lui tardait de retrouver sa chambre.
Comme Manon, le temps s’écoula mollement. Arrivée à destination, elle s’empressa de rassembler ses affaires et sortit rapidement du car en évitant tout contact avec son voisin. Dans la foulée, elle se dépêcha de récupérer sa valise dans la soute à bagages et se dirigea en toute hâte vers la sortie de la gare routière sans se retourner. Garé sur le parking, son père l’attendait et il n’aimait pas attendre.