Car de nuit
Datte: 09/03/2023,
Catégories:
f,
h,
hplusag,
inconnu,
grossexe,
bus,
odeurs,
ffontaine,
Masturbation
nopéné,
occasion,
Auteur: PamelaPopo, Source: Revebebe
... où le problème ? Le moment était-il bien choisi pour se raconter qu’elle n’avait jamais rêvé de palper une queue pareille ? Allons… elle en crevait d’envie. Il y avait quoi dans la balance ? Certes, il fallait accepter de se commettre dans le crapoteux, mais c’était justement ça qui était excitant, cette sournoise envie de faire un truc risqué et tout à fait malpropre. Le fameux attrait de l’interdit pesait de tout son poids. L’occasion était belle, inespérée en fait, et sans doute pas prête de se représenter. Ce superbe morceau qu’on lui offrait sur un plateau en toute discrétion… Elle jeta un regard coupable vers l’avant du car. Il avait raison, personne ne pourrait rien voir.
Alors, cédant à la convoitise et à une pulsion qu’elle ne s’expliqua jamais, elle se déplaça sur sa gauche pour se rapprocher et elle tendit la main.
Fébrilement, elle commença à le branler. Il se mit aussitôt à grogner de plaisir. Elle n’en revenait pas. Elle était en train d’astiquer la queue d’un inconnu à l’arrière d’un car ! Et quelle queue ! La grosse colonne de chair chaude et palpitante qu’elle empoignait lui emplissait copieusement la main gauche et, c’était atroce, mais elle sentait aussi monter en elle un drôle d’appétit, une irrépressible envie de le sucer. Plus elle observait ce gros champignon turgescent, humide, et dont l’odeur forte et entêtante commençait à l’affoler, plus elle avait envie de se pencher pour le gober et le faire juter dans sa bouche. Cependant, l’idée de ...
... s’approcher à ce point du corps de Porcinet pour avaler ce qu’il n’allait plus tarder à cracher était un brin écœurante. Non, il y avait des limites qu’elle se refusait à franchir. Ce qu’elle était en train de faire était déjà bien glauque. Elle devait se calmer et garder un minimum de dignité, s’il n’était pas déjà trop tard. Il fallait absolument qu’elle se retienne de commettre l’irréparable, elle avait trop peur de ne jamais se le pardonner par la suite.
Elle se contenta donc de lui prodiguer une habile branlette qui lui poissait les doigts. Si tout se déroulait comme prévu, ce cochon allait en mettre partout et elle trouvait l’idée plaisante. D’expérience, elle savait qu’à ce stade il convenait d’accélérer le mouvement pour en finir. Cependant, cette fois, elle eut l’intuition que ça ne serait pas nécessaire. Il était cuit à point et elle sentit qu’il allait venir gentiment. Lentement. Encore quelques coups de poignet souples et réguliers et il exploserait.
Des spasmes incontrôlés commencèrent à l’agiter et elle sut qu’il allait jouir. Le pauvre fit beaucoup d’efforts pour rester aussi silencieux que possible, mais il ne put réprimer quelques couinements pathétiques à l’instant où il rendit les armes. Une quantité étonnante d’un foutre épais se mit à jaillir en quatre ou cinq formidables giclées, qui retombèrent en lourds paquets un peu partout sur les sièges et ses vêtements. Manon ne rata pas une miette de ce phénomène qui ne laissait pas de l’étonner. Il suffisait de ...