1. Sur le vieux lit de la remise.


    Datte: 09/03/2023, Catégories: hh, cadeau, grossexe, jardin, hsoumis, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, intermast, Oral hdanus, hsodo, gay Auteur: Iovan Ness, Source: Revebebe

    ... plaisir, m’envahir insidieusement. Je le sentis monter encore et atteignant son apex, brusquement, il m’envahit dans une déferlante de volupté et de stupre, me faisant me tordre sur le monstrueux vit qui m’écartelait.
    
    Alors, au paroxysme de l’excitation, fesses écartées, je creusai mes reins, tendant ma croupe et haletai à mon tourmenteur :
    
    — Oh ! Prends-moi, chéri ! Vas-y ! Oui ! maintenant ! Encule-moi… Je veux ta grosse queue en moi !
    
    En même temps qu’un rugissement se faisait entendre, je sentis sa traction sur mes hanches s’accroître impérieusement alors qu’il poussait son bassin en avant d’un lent mouvement puissant.
    
    Je sentis son chibre énorme distendre mes sphincters et lentement pesamment dans une onde de douleur encore plus intense que les autres, je sentis le monstre s’enfoncer dans mon fourreau anal jusqu’au fond de mon ventre où il s’enfouit jusqu’aux grosses couilles velues qui vinrent s’écraser sur mes fesses.
    
    La jouissance était trop forte : j’éjaculai dans un orgasme si puissant que je défaillis, balafrant la courtepointe de traînées de sperme.
    
    — Tu jouis, ma chérie… ! Tu jouis !
    
    Il me maintenait enfoncé sur son pal, m’envahissant de toute sa force.
    
    J’émergeai de ma torpeur.
    
    — Oh ! Chéri ! Oh ! Vous m’avez fait tellement jouir ! Que… je… j’ai… je crois que… je suis tombé dans les pommes !
    
    Il caressa mon cou dans un geste incroyablement doux.
    
    — Tu as bien joui, ma chérie… Tu me fais très plaisir !… T’es vraiment bonne, petite ...
    ... vicieuse. Viens que je te baise…
    
    Lentement, avec douceur, il se retira, sans ressortir entièrement sa grosse queue, ménageant mes sphincters distendus et douloureux, puis d’un mouvement plus puissant, s’enfonça à nouveau, me faisant pousser un profond râle.
    
    Il reprit ce mouvement et le répéta plusieurs fois de suite, intensifiant la force de la pénétration à chaque fois, provoquant en moi des ondes intenses de volupté.
    
    Je le sentis alors se retirer. Le passage du gros gland me causa à nouveau une légère douleur, mais il me fit surtout ressentir toute sa puissance. Mon amant me tira par une épaule.
    
    — Retourne-toi ! ordonna-t-il.
    
    Je m’exécutai et me retrouvai face à lui. Il se tenait jambes écartées, son gros sexe plaqué au ventre velu et me regardait, dominant, sûr de sa force. Il m’embrassa et me dit :
    
    — Suce-moi ! Et empoignant son sexe, il me prit par la nuque et me fit me pencher sur lui.
    
    Je m’emparai de sa bite, distendant mes lèvres, je pris le gros gland en bouche, goûtant le parfum épais et le goût musqué de nos sucs internes mêlés, décuplant mes sensations érotiques.
    
    Mon amant me releva et me lança :
    
    — Retourne-toi, chérie ! Maintenant, je vais te baiser à fond et te jouir dans le cul ! C’est ce que tu veux, hein ? Allez ! Écarte les fesses, petite salope, que je défonce ta jolie rosette !
    — Oui… ! Oh… Encore, maître ! Encore !
    
    Je me retournai, écartai les jambes, reins creusés, mon armille offerte au sacrifice.
    
    Mon amant m’ordonna ...
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