1. Sur le vieux lit de la remise.


    Datte: 09/03/2023, Catégories: hh, cadeau, grossexe, jardin, hsoumis, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, intermast, Oral hdanus, hsodo, gay Auteur: Iovan Ness, Source: Revebebe

    Le temps était magnifique en ce début de week-end, et c’est tout naturellement que je me décidai pour une maraude à la campagne.
    
    J’étais parti dans la matinée de ma bonne ville de B., le nez au vent, bien décidé à profiter de toute occasion d’assouvir les envies libidineuses qui me tordaient le ventre et ne me laissaient aucun répit ces derniers temps.
    
    Il fallait que j’assouvisse l’impérieux besoin de sexe qui m’étreignait.
    
    Je roulais un bon moment, m’obligeant à ne penser à rien d’autre qu’à profiter de ma balade estivale.
    
    Je traversais le Lot-et-Garonne et bifurquais au sud-ouest vers le Gers.
    
    Après un déjeuner sur le pouce, dans un petit bistrot de campagne, je repris la route.
    
    Quelques kilomètres plus loin, le paysage d’une beauté à couper le souffle m’obligea à m’arrêter. Je décidai de faire une pause.
    
    Je garai ma voiture à l’ombre d’un tilleul et je remontai un petit chemin herbeux à flanc de coteau. Il faisait chaud en ce bel après-midi d’été. Je me sentais bien, et d’humeur enjouée, titillé par un désir que je n’avais plus envie de contrôler, je m’étirai et me mis à me caresser le torse, le ventre, puis les fesses et le sexe. Je bandais et amorçai quelques mouvements de masturbation. Je baissai mon short ainsi que la culotte en dentelles que j’avais revêtue ce matin, comme j’aimais parfois le faire et me caressais les fesses avec lascivité. Une pensée me vint, qui me fit m’interrompre tout soudain. Et si je n’étais pas si seul que je le croyais ...
    ... ? Là où j’étais, n’importe qui pouvait me voir… Non… ce petit vallon semblait absolument désert.
    
    Le coteau était entièrement planté d’arbres fruitiers, notamment de pruniers sous lesquels se trouvait une invraisemblable quantité de fruits tombés qui embaumaient le val de leur parfum suave.
    
    J’étais tenté et ne résistai pas. Je ramassai sous le premier prunier venu, une poignée de fruits et m’assis sur une grosse pierre bordant le chemin pour les déguster.
    
    Derrière moi, un bruit de pas se fit entendre et une voix tonitrua :
    
    — Alors, on ne se gêne plus ! On vole mes fruits !
    
    Je me retournai et vis un homme, les poings sur les hanches, l’air furieux qui me toisait.
    
    Il était de taille moyenne, trapu, très large d’épaules. Son visage hâlé et buriné, ses yeux clairs dégageaient une grande énergie. Il était vêtu d’un pantalon de toile et d’un polo de prix, qui n’étaient pas l’accoutrement habituel du paysan. Son regard semblait m’étudier. J’étais beau gosse, et je connaissais l’intérêt que suscitait mon look androgyne chez certains hommes… je retrouvais chez lui, leur manière de m’examiner.
    
    — Je commence à en avoir par-dessus la tête, de ces touristes qui pillent mes vergers… déclara-t-il d’une voix forte.
    
    Il criait presque et semblait très en colère.
    
    — Oh, Monsieur ! Je n’ai fait que prendre quelques fruits tombés…
    — Sur une propriété privée. Ça s’appelle du vol, et moi, le vol, je le punis ! Et je vais te punir… comme tu le mérites ! ajouta-t-il avec un ...
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