1. Le Tournoi des six nations (6)


    Datte: 07/03/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Lartmateur, Source: Xstory

    ... s’exprime peu, selon les dires de son rugbyman, partenaire de jeu officiel.
    
    Médusée, voyeuse, personnellement il me semble pourtant assister aux ébats d’un couple d’amoureux quelconque, qui pourrait être n’importe lequel, d’anonymes, si ce n’était celui formé par mon mari et la conjointe de mon amant du week-end.
    
    Ne me voyant pas revenir, Gordon m’a rejointe, la tête par-dessus l’épaule assiste lui aussi aux ébats de nos conjoints respectifs.
    
    La scène nous excite et sans vraiment m’en rendre compte, par mimétisme probablement, mes doigts, fichés dans ma propre intimité ont imité ceux de mon mari, m’arrachant un petit cri de plaisir.
    
    Le sportif n’est pas en reste et déjà son membre se dresse, pour venir agacer ma vulve humide. Imperceptiblement, je lui tends mon postérieur, écarte les cuisses et comme aimantés, nos sexes se trouvent. Il n’a pas besoin de forcer, à l’image d’une huitre mes chairs refluent d’elles-mêmes sous l’avancée d’un Couteau géant. Je suis embrochée par ce coquillage et une nouvelle fois, je suis emplie. Ma respiration se coupe, c’est la première fois qu’il me prend ainsi, debout. Derrière moi, il me redresse, s’empare de mes seins, masse mes obus généreux, les soupèse, triture, malmène mes tétons. Je me cabre, soupire, ferme les yeux, lève les bras, me saisis de sa tête par l’arrière. Le colosse me besogne tendrement, profondément. La position est inconfortable. Il lâche mes mamelons, me ceint par la taille et commence son travail de ...
    ... possession. Je me hisse sur la pointe des pieds pour mieux le sentir en moi.
    
    Il me possède enfin profondément, s’enfonce en moi, se retire et replonge du mieux qu’il peut. Gordon ahane, souffle, accélère la cadence et nos sexes unis jouissent l’un de l’autre, humides de ma cyprine qui semble plus abondante au fil de nos coïts successifs. Je n’ai plus aucun doute sur le fait que je devienne accro à cette bite conquérante. Ivre de sexe, d’accouplements sauvages, je deviens sa chienne, sa salope. J’y pense, ça m’excite. Une douce chaleur se diffuse en moi, me gagne inexorablement. Ma peau se constelle d’un doux frisson. Un séisme se prépare au plus profond de mes entrailles. L’épicentre se déplace au fin fond de ma chatte qui s’embrase, s’enflamme. L’éruption de mon volcan est imminente. J’explose telle une furie. Nous jouissons de concert. Un magma se repend en moi, abondant, avant de s’écouler le long de mes cuisses. Je défaille et prends appui sur le lit à portée de main.
    
    Mon amant m’accompagne dans la chute, dégage son appendice souillé de nos sécrétions, je suis ravagée, épuisée par cette jouissance intense.
    
    Après le repas, épuisés, nous baisons quand même encore tous les quatre, mon mari venant me saillir une dernière fois, comme pour réaffirmer sa propriété dans ma chatte distendue, mêlant son sperme à celui de Gordon. Je dois vous l’avouer et le reconnaître, même s’il me fait jouir, je n’y prends pas autant de plaisir qu’avec mon amant du jour. De même, ma consœur ...
«12...6789»