1. Comment je suis devenue la salope de la cité ... (5)


    Datte: 05/03/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... jeune loubard et me comporter comme la dernière des salopes. Même si j’ai l’impression d’en devenir une ces dernières semaines, je ne souhaite pas que cela soit trop évident aux yeux de Mohamed.
    
    Le mardi matin, alors que je suis au bureau, je jette un œil sur le dossier de la famille Dahoud afin d’essayer de trouver un prétexte pour retourner à la cité du Maroc. Je vois que tous les documents ont été adressés en recommandé à la commission sociale et que nous avons reçu l’accusé de réception du dossier. Finalement j’ai une idée ! Je prends mon portable et j’envoie un mot à Mohamed « Merci de préciser à votre mère que je passerai jeudi à 17h30 pour lui remettre l’accusé de réception transmis par la commission sociale en charge de l’étude de votre dossier ». Mon message, suffisamment sérieux et officiel, est plus que crédible alors qu’il n’est nullement dans nos habitudes de remettre un tel accusé de réception aux familles. Je ne doute pas que le jeune beur va tenter de profiter de mon nouveau passage chez sa mère, sous un prétexte professionnel à ses yeux, pour m’entreprendre de nouveau sous une forme ou une autre.
    
    C’est demain en fin d’après-midi que je dois me rendre à Stains à la cité du Maroc pour rendre visite à madame Dahoud. Mais ce soir, je suis toute excitée par ces longues journées d’attente et j’ai envie que mon mari me prenne. A peine est-il au lit que je me glisse nue près de lui. Il est en train de lire La Revue Economique et, sans rien lui dire, je me ...
    ... glisse sous la couette. Une fois sa queue en bouche, je le suce mais je suis loin de retrouver les sensations éprouvées là-bas. Mais je me rends compte que ce n’est pas seulement une affaire de grosseur de queue, c’est aussi une affaire de contexte et d’environnement.
    
    A la cité du Maroc, je suis dans un univers que je ne connais pas où mes repères habituels disparaissent. Là-bas, je me libère de mon éducation stricte, je brise les tabous et je fais fi du jugement des autres. C’est d’autant plus facile que là-bas on se moque de la femme que je suis dans la vie de tous les jours et qu’aucune de mes connaissances – surtout mon mari et ma famille – ne peut imaginer la femelle que je deviens entre les mains de ces mâles.
    
    Une fois que la queue d’Edouard est suffisamment raide, j’émerge de dessous la couette, la bouche pleine de salive. Je viens sur lui, je m’empale sur sa queue et j’ondule du bassin. Très lascive, je passe ma langue sur mes lèvres et je luis dis
    
    — Ne m’en veux pas mais je me suis dit que cela te ferait du bien après une dure journée de labeur.
    
    Il m’enserre la taille et me réponds
    
    — Oui, chérie, tu as raison !
    
    Je ne vais bien évidemment pas lui dire que faire l’amour avec lui va peut-être avoir un effet placebo sur moi en attendant de prendre demain mon vrai médicament avec effet actif garanti.
    
    Cinq minutes plus tard, la posologie respectée, je m’endors.
    
    Le lendemain matin, sous la douche, je m’épile bien les jambes pour les rendre lisses puis le ...
«1234...8»