1. Comment je suis devenue la salope de la cité ... (5)


    Datte: 05/03/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    Pendant deux ou trois jours, mes muscles vaginaux sont restés distendus suite à cette longue saillie avec le concierge de la cité du Maroc. Je n’en reviens toujours pas d’avoir réussi à prendre en moi un sexe aussi gros. Oui je l’avoue, sur le coup j’ai bien failli refuser et appeler au secours pour que l’on vienne m’aider à quitter la loge de monsieur Sissoko. Mais une fois qu’il a été glissé au plus profond de moi, une fois que mon sexe s’est habitué au sien, une fois qu’il a commencé à me besogner, alors cela a été comme une révélation. J’ai joui comme jamais et, lorsque son foutre s’est déversé en moi, j’ai compris quelle erreur aurait été la mienne si je ne lui avais pas cédé.
    
    Heureusement pour moi, Edouard mon mari est tellement préoccupé par l’impact de la crise sanitaire sur l’économie qu’il me laisse tranquille. Lorsqu’il est à la maison, il n’a d’yeux que pour les émissions politiques et économiques et ses journaux habituels. S’il m’avait entreprise, je n’aurais pas pu lui refuser et il aurait alors constaté que son sexe était bien au large dans ma chatte encore toute distendue. Cependant plus d’une fois, seule dans mon lit en l’attendant, je me suis donné du plaisir en pensant à ce vieux concierge africain et à ces jeunes loubards beurs.
    
    Régulièrement au travail, il m’arrive de jeter rapidement un œil sur des sites érotiques en veillant à ce que personne ne me surprenne. Ce n’est pas trop dur car, avec l’obligation de privilégier le télétravail, nous nous ...
    ... sommes répartis les journées de présence à nos postes de manière à ne jamais être à deux dans nos bureaux. Une fois installée derrière mon ordinateur et certaine que je suis tranquille, je lance ma recherche. Bien vite la playlist de vidéos qui s’affiche est un véritable inventaire à la Prévert : « Une salope en chaleur », « La belle aux beurs », « La partouze des confinés », « Une chatte au bois », « Concert en sous-sol », « La baronne en goguette », « La chienne en laisse », « La passe à dix », « La femme à la pipe », « La jupe défendue », ….
    
    Au bout d’une dizaine de minutes, mon string est tout trempé et je suis obligé de glisser la main entre mes cuisses pour calmer mes envies. Les yeux fixés sur l’écran de mon ordinateur où défilent des queues en tous genres, toutes bien plus grosses que celle de mon mari, je me fais du bien, je me masturbe comme une pucelle en chaleur, je me fais jouir comme la dernière des salopes en manque de bites. Je n’en reviens pas du bien que cela me fait de revivre mon enculage dans l’ascenseur, ma double saillie dans la cave et ma dilation dans la loge du concierge. Les yeux fermés pour mieux me remémorer ces instants lubriques, je me mords les lèvres pour ne pas crier ma jouissance et je serre fort les cuisses pour augmenter le plaisir. Lorsque je reprends mes esprits et me remets au travail, je ne peux m’empêcher de me demander combien de temps je vais tenir sans avoir recours à l’une des queues de la cité du Maroc.
    
    Ma visite dans la loge ...
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