1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1447)


    Datte: 05/03/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... que je réapprenne tous les cours et toutes les matières concernées durant la nuit. Il m’imposa donc une nuit blanche. Mais voici très exactement dans quelles conditions, il exigea que je m’attèle à mes nocturnes devoirs d’étudiant : Alors que je révisais dans la soirée, il prépara ma nuitée qui fut celle-ci : Il me fit asseoir sur un siège de bureau où était solidement fixé, sur son assise, un gode à la verticale. Il me fit m’empaler dessus afin de me sentir bien encombré par mon anus du volumineux sexe factice. Je devais lire à haute voix le cours. Puis lire une première question pré-préparée par le Maître dans la soirée. Je devais appuyer sur un bouton intitulée ‘’1ère question’’. Ensuite, pour y répondre, je devais appuyer sur un des trois boutons selon les trois choix de réponses proposées. Si j’avais répondu juste, je passai à la question suivante et si j’avais répondu faux, je devais relire entièrement le cours, puis de nouveau appuyer sur un des boutons de réponses. Mais à chaque mauvaise réponse, ce qui me punissait douloureusement, c’était la décharge électrique envoyée dans le gode vertical et qui me créa une douleur profonde et interne contre mes parois anales. Au début, avant que je réponde à la première question, le fait d’être empalé et exceptionnellement décagé pour la nuit, je bandais fort de me trouver empalé sur ce siège. Mais j’avoue qu’après quelques décharges électriques je n’avais nullement envie de bander… C’est ainsi qu’à 5h du matin, et après ...
    ... maintes fois des réponses erronées à m’électriser mon fondement, je sus répondre à toutes les questions imposées. Je ne pus dormir qu’une petite heure car à 6h du matin, je me devais accomplir mes tâches quotidiennes d’esclave. Mais quand dans la matinée, je fus à l’université pour mes partiels et malgré ma fatigue gérée par l’absorption de grosses tasses de café fort imposées par le Châtelain, je pus répondre à toutes les questions posées et je reçus par la suite les jours suivant d’excellentes notes grâce au traitement nocturne que le Maître m’imposa…
    
    Le week-end, cependant, constituait une sorte de bulle dans cette période si studieuse. Maître Edouard d'Evans avait besoin de Se détendre, de Se défouler et Ses esclaves étaient alors mis à l'épreuve sans répit. Son esclave Joëlle venait ces deux journées au domicile, pour n'en repartir que le lundi matin. Le samedi matin, j'attendais à genoux près de la porte d'entrée et à l'heure prévue, j'ouvrais et esclave Joëlle entrait, se mettant immédiatement nue, boucles d'oreille comprises, ne conservant pour tout ornement que l'épais collier de cuir qu'elle ne quitterait pas durant les 48 heures du week-end. Sans un regard pour moi, elle se dirigeait ensuite vers la chambre du Maître et toquait doucement à la porte, attendant que retentisse l'autorisation d’entrer. L'Ordre claquait parfois instantanément, d'autre fois, la belle esclave devait attendre de longues minutes, immobile, tête baissée... soumise au Bon Vouloir de Celui dont ...