1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1447)


    Datte: 05/03/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    La jeunesse d’Edouard d’Evans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite de l'épisode 1439) -
    
    … même si visiblement on m’avait volontairement poussé à la faute … Après la pose de la cage, je fus ramené à ma cellule sans autre commentaire. Epuisé physiquement et mentalement par une nuit blanche et tant d'émotions, je sombrai rapidement dans un profond sommeil. On m'accorda ainsi quelques heures de répit. Dans mon isolement, j'ignorais totalement l'écoulement du temps, conscient d'ailleurs que pour un esclave ainsi reclus l'unique référence doit être la Volonté du Maître. Jour ou nuit, horaires, peu importe, l'esclave n'est qu'un instrument qui attend le bon Vouloir du Maître en dehors de tout autre action. Attendre et servir, ce sont les deux seuls mots qui comptent. Je ne savais donc pas du tout à quel moment de la journée nous étions lorsque l’homme qui m’avait reçu à mon arrivée, vint poser une gamelle à travers les barreaux de ma cage. Une bouillie épaisse sans grande saveur mais revigorante que je lapais avec délectation, nu et affamé, n'ayant depuis 24h rien absorbé d'autre que La Semence des Supérieurs ayant empli ma bouche tout au long de la soirée de la veille. Puis, le Majordome toujours aussi muet et impassible comme une porte de prison me fit sortir de ma cellule et fixa une laisse au collier que je portais au cou afin de m'entraîner à l'extérieur.
    
    Il faisait froid et mon corps tremblait quelque peu, mais je n'avais pas le choix, ...
    ... ce n'est qu'ainsi, à l'extérieur tenu en laisse qu'il m'était permis de faire mes besoins, tel le chien bien dressé que j'étais devenu, abandonnant même à la Volonté du Maître des moments et des actes aussi intimes, aussi personnels pour toute personne libre, mais devant se soumettre à certaines règles pour un esclave qui n'a plus la moindre parcelle d'autonomie qu'elle soit mentale ou physique. Et mon intimité, de fait ne m’appartenait plus, elle était désormais la Propriété du Maître… Ainsi je fis mes besoins sous le regard méprisant du Majordome avant de regagner la salle d'enfermement. Là, je dus effectuer un grand nettoyage de ma cellule et lorsque cela fut terminé, je fus autorisé à utiliser l'eau savonneuse afin de faire un brin de toilette. Dès que j'eus terminé, je fus cagoulé et mené sans ménagement pour être jeté sur le sol de la berline dont je reconnus l'odeur mêlée de cuir et d'une fragrance dont j'ignorais l'origine, dès que je fus entré dans la luxueuse voiture. J'ignore exactement combien dura le trajet, ni le chemin parcouru, cela fut impossible à déterminer. Ensuite étant toujours nu et cagoulé, je pus être déplacé à pieds, puis ainsi que je le compris, enchaîné à des anneaux scellé à un mur, qui me maintenaient à genoux les bras écartés en croix. Mais je restais ainsi un assez long moment, le peu de sens qu'il me restait me permettant cependant de comprendre que j'étais sans doute de retour au domicile de Maître, Monsieur Le Marquis d'Evans. Retour "au ...
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