1. Un peu de réconfort


    Datte: 03/09/2018, Catégories: ffh, Collègues / Travail fépilée, Oral fsodo, Auteur: Québec libre!, Source: Revebebe

    ... j’avais un sein de chaque femme dans les mains et je massais le tout. Je sentais l’une ou l’autre de leurs mains sur ma verge en train de me branler. C’était divin même si j’avais le goût et le désir de décharger à mon tour dans l’une ou l’autre des chattes qui m’étaient offertes. Cependant je dus attendre encore un peu. Alors que Ginette mentionna qu’elle devait partir, que son mari devait sûrement l’attendre en se posant des questions sur son retard, Carole me demanda, me supplia, de lui faire le même traitement et d’explorer sa chatte épilée. Comment dire non ? Alors que Ginette n’était pas encore totalement vêtue, j’étais déjà en train de répéter mes attaques sur Carole. La sensation de lécher une chatte lisse comme une peau de pêche était bien différente de celle que je venais de connaître avec Ginette. Ma langue pouvait, il me semble, pénétrer encore plus profondément en elle, elle titillait, léchait et suçait son clitoris sans aucun répit. J’amenai Carole au bord de l’orgasme rapidement, il faut dire qu’elle était tout à fait excitée.
    
    Nous ne remarquèrent même pas le départ de Ginette de la pièce et de l’appartement. Je massais ses belles fesses et je caressais son ventre bien dur en même temps que ma langue était enfouie en elle. Sa tête dodelinait d’un côté à l’autre, soudain et elle me prit et me colla le visage encore plus profondément sur sa chatte, j’avais de la difficulté à respirer quant, tout à coup, elle se mit à jouir de nouveau. Elle se remit ...
    ... rapidement de ses émotions.
    
    — Pauvre Jacques, c’est à ton tour, baise-moi, baise-moi fort, me dit-elle.
    
    Je n’attendais que cela. Cette fois-ci, plus rien n’empêcherait l’arrimage de la navette… Je la replaçai plus loin sur le lit et j’approchai ma queue de sa chatte. J’avais des petites gouttes de liquide qui étaient bien visibles sur le bout de mon gland tellement j’étais impatient de la pénétrer. Je ne fis pas dans la dentelle. J’étais prêt, elle était prête et c’est d’un seul coup que je la pénétrai. Elle cria, non pas de douleur, mais bien de plaisir. J’entrepris alors des mouvements de va-et-vient en alternant les séquences plus lentes pendant lesquelles mes mains se baladaient sur ses beaux seins en lui caressaient les tétons puis des séquences plus violentes où je la tenais, mes deux mains sur ses hanches afin de bien la maintenir en place. Je parvenais malgré toute cette intensité à me contenir.
    
    On varia les positions. Tantôt je la prenais en levrette soupesant ses seins dans mes mains, tantôt nous y allions dans une position en cuillère où je pouvais l’embrasser tout en continuant des va-et-vient constants. Carole sentit tout de même qu’il fallait que je parvienne à décharger mes bourses parce que, sans cela, j’étais pour devenir fou. Elle me fit me placer sur le dos et commença à me chevaucher. Ses belles jambes bien bronzées étaient déposées de chaque côté de moi. Ses seins se balançaient sous mes yeux et, comme des fruits mûrs, je pouvais les cueillir dans ma ...
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