1. Un peu de réconfort


    Datte: 03/09/2018, Catégories: ffh, Collègues / Travail fépilée, Oral fsodo, Auteur: Québec libre!, Source: Revebebe

    J’étais absent lors de la visite de notre chère présidente, mais dès mon retour à mon bureau, Ginette, ma toute dévouée secrétaire m’informa que la tigresse en question s’était présentée, qu’elle avait été plus qu’odieuse envers Carole, l’une de nos conseillères financières, qu’il y avait eu prise de bec et que la tempétueuse présidente s’en était allée sévir dans un autre service. Carole était très touchée, elle avait quitté son bureau peu après. Je présumais qu’elle était partie chez elle plus tôt, nous étions vendredi après-midi et personne ne souhaite un tel traitement avant de partir en week-end. Sans en informer directement ma secrétaire, je décidai de quitter moi aussi les lieux afin de passer rapidement à l’appartement de Carole pour m’assurer qu’elle était ok.
    
    Elle avait réorienté sa vie récemment, expulsant un conjoint un peu volage qui ne se contentait pas d’elle. Selon moi, il avait tort, car Carole était une superbe femme dans la mi-trentaine, toujours bien mise, cheveux châtains qui lui allaient jusqu’aux épaules, une taille assez mince et des seins qu’elle savait mettre régulièrement en évidence dans des tailleurs où il était plaisant de plonger le regard. Elle ne méritait sûrement pas une réprimande de la présidente, elle avait eu le malheur de se trouver devant elle et en avait subi les foudres.
    
    Après quelques coups de sonnette à sa porte, celle-ci s’ouvrit et Carole était là devant moi. Elle était vêtue d’un peignoir de satin et je vis que ses yeux ...
    ... étaient rougis, elle avait dû verser quelques larmes. Sans un mot, elle me fit signe d’entrer, referma la porte derrière moi. Je n’avais pas moi non plus dit un mot, je m’approchai et la prit dans mes bras. Elle commença à sangloter, je me rapprochai encore, mis sa tête sur mon épaule en lui caressant le dos afin de la réconforter. Sans que je le veuille, je commençais à sentir une pression dans mon pantalon, j’avais beau me dire que ce n’était vraiment pas le moment, qu’elle allait penser que j’étais un beau salaud, venir ainsi chez elle, la prendre dans mes bras pour la réconforter et commencer à bander. Décidément, c’est le comportement un peu bas d’un homme.
    
    Pourtant, il ne semblait pas que cela dérangeait Carole, je pense qu’elle pouvait sentir mon émoi, elle avait arrêté de sangloter, ses mains dans mon dos me caressaient également puis l’une d’entre elles vint plutôt se placer à l’avant afin de toucher la bosse qui déformait maintenant mon pantalon. Je pensais qu’il y avait un malaise, je m’éloignai un peu et lui dit mes premières paroles.
    
    — Carole, désolé. Enfin, j’étais venu pour te réconforter, mais de te sentir si près de moi m’a, disons, troublé. Je peux m’en aller. Tu veux bien me pardonner ?
    — Voyons donc, cela m’a plutôt plu. Je ne pensais pas te faire de l’effet, avec mon visage rougi, mes larmes qui coulaient. Je me sens plutôt moche.
    — Tu es tout sauf moche. Une superbe femme comme toi ne devrait pas verser de larmes. J’aimerais pouvoir faire en sorte ...
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