Découverte d'un étudiant (1)
Datte: 03/03/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Coquine-Aur, Source: Xstory
... mains m’exploraient. Je n’osais la brusquer ni aller trop loin, de peur de faire quelque chose qui la mettrait mal à l’aise.
— Suce mes seins, m’ordonna-t-elle, je ne suis pas en sucre, ils sont faits pour être dévorés. Il faut tout te dire ! Agis un peu !
Je m’exécutai et, l’un après l’autre, je tétai ses doux mamelons dressés pour moi. Nulle friandise ne peut égaler cette sensation, ils étaient parfaits, fondant sur ma langue comme un bonbon. Ses mains crispées dans mes cheveux, et son souffle plus profond m’indiquaient que j’étais sur la bonne voie. J’avais mes mains sur ses si beaux seins, titillant les tétons, les pinçant légèrement, les agaçant de ma langue, ça aurait pu suffire à mon bonheur si elle ne s’était pas attaquée à ma braguette.
Sa main agaçait mon membre surgonflé, le jaugeant et le faisant coulisser entre ses doigts par-dessus le tissu. Elle prit les devants et me mit nu, révélant ma queue dressée à ses yeux.
— Belle queue, dommage de ne pas s’en servir, tu ne crois pas ?
Elle ne me laissa pas le temps de répondre et ouvrit la bouche pour gober mon gland. Ce furent mille explosions dans mon corps, le plaisir venant à moi par vagues, irradiant mes chairs. Je sentais sa bouche délicate, sa langue de velours, ses lèvres divines autour de ma queue, allant et venant en faisant jouer toute sa science. Je ne voyais plus rien, ni ses yeux, ni rien autour de moi. Sa main posée à la base de ma verge me branlait doucement, caressant avec un doigté ...
... parfait mes bourses au bord de l’implosion.
Je crispais mes mains sur des draps, mon souffle s’approfondit, puis s’accéléra, et ce que je redoutais arriva. J’eus beau la prévenir, elle continua son œuvre. Ma queue frémit, mais il me semble que mon corps entier s’est tendu, et du fond de mon corps, je succombai à ses talents. L’orgasme vint me prendre et atterrit en jets incontrôlés dans sa gorge. Je ne pus me débattre lorsqu’elle continua à me sucer, nettoyant les dernières gouttes de mon plaisir. Respirant par saccades, les esprits embrouillés, la vision perdue, je gisais sur son lit, épuisé par la violence de ce que je venais de vivre. C’était fort, très fort, plus puissant que ce que j’avais connu auparavant en solitaire. J’ouvris les yeux sur Amandine, ma queue ramollie entre les doigts, continuant quelques coups de langue sporadiques, le sourire aux lèvres.
— Alors ? Me demanda-t-elle ?
— C’était, soufflé-je, incroyable, plus que merveilleux.
— A toi de me rendre la pareille, me proposa-t-elle avant de se coucher contre moi.
Fi de ma fatigue, je me tournai vers elle, pour l’embrasser, et y sentis l’odeur de mon jus. Je passai mes mains sur son corps, sur ses hanches délicieuses, sur ses jolies fesses fermes, en picorant son cou de baisers, puis j’osai la mordiller, ce qui la fit soupirer et gémir. Je me dirigeai vers ses seins, royalement dressés vers moi, qui appelaient les baisers. Je les suçai, je les titillai, je les cajolai et je filai entre ses ...