Découverte d'un étudiant (1)
Datte: 03/03/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Coquine-Aur, Source: Xstory
... que j’allais m’en aller pour de bon, Amandine lança un jeu typique des adolescents en fleur, action ou vérité. Sans demander mon avis, je fus désigné, tout comme Louise, comme participant. Assis en tailleur, autour d’une bouteille qui désignerait la prochaine victime.
Au début, ce furent de petits gages, comme tenter de faire le poirier, boire un verre cul sec, dire avec qui on aurait aimé coucher, avec quel prof on se serait bien vu faire des choses, etc. Le temps passa, et les gages se firent plus osés, comme retirer à quelqu’un un vêtement, embrasser quelqu’un et vint mon tour. Je dus embrasser une fille, Julie, ravissante elle aussi, et déjà en maillot. Le premier baiser de ma vie. Personne ne le savait, du moins, le croyais-je.
Les gages sont montés en intensité, j’ai été désigné pour toucher les seins de Louise, que je n’ai pu regarder dans les yeux tellement j’étais gêné. Ils étaient doux, fermes, plus gros que je ne le croyais, dans un écrin de dentelle qui me donna une érection de tous les diables.
D’autres se sont embrassés, se sont touché les seins, les fesses, les cuisses, la queue pour les hommes. J’étais à la fois au paradis, parce que je voyais beaucoup de chair, mais en enfer aussi parce que je me sentais humilié de montrer mon corps plutôt chétif devant tout le monde, y compris mon érection plus que visible.
Après un gage où j’ai dû retirer le bas de bikini d’Amandine, j’ai annoncé ma décision de partir, il était cinq heures après tout. Un ...
... dernier tour aux toilettes et je vis en sortant Amandine, fièrement plantée devant moi, nue.
— T’es encore puceau mon pauvre Mathieu, ça t’a fait quoi d’essayer tout ça ce soir ? Tu as aimé ?
— Euh, je ne sais quoi dire.
— Ca crève les yeux que tu es puceau, je parie que tu as eu ton premier baiser ce soir.
— Euh, oui, j’avoue, mais ce n’est pas un crime. Je n’aurais pas dû rester. Merci encore pour l’invitation, mais je vais rentrer, je suis assez humilié comme ça.
— Tu as aimé toucher mon cul tout à l’heure, n’est-ce pas ? Tu aimes, ça se voit, tu es un petit pervers, vu où traînent tes yeux.
— Je dois m’en aller, protestai-je.
Elle me prit le bras, et me plaqua contre le mur, m’embrassant et passant ses mains sur moi. Je savourais ce moment, ses jolies lèvres qui épousaient les miennes, sa langue telle du miel, ses doigts qui fouillaient sous mon T-shirt.
— Ce soir, je fais de toi un homme, m’affirma-t-elle en me poussant vers sa chambre.
Je n’eus pas le loisir de détailler la déco, elle m’allongea sur le lit en me chevauchant et posa ses mains sur mon torse.
— Tu as des mains toi aussi, grande nouille, sers t’en, tu peux enfin toucher ce que tu as maté toute l’année.
Timidement, mes mains se sont posées sur ses hanches, n’osant aller plus loin. Je sentais ses seins contre moi, sa bouche qui me dévorait. J’étais dépassé par les évènements, mes sens se bousculaient, je ne savais où j’étais, mille frissons parcouraient mon corps à mesure que ses ...