1. Comment j'ai baisé le fils de mon voisin. (1)


    Datte: 01/03/2023, Catégories: Gay Auteur: Arouse, Source: Xstory

    ... plaisante, d’autant que le blond se met à échanger des regards et des sourires avec moi. Il semble moins timoré que son camarade. Peut-être est-il au courant.
    
    Je saisis une opportunité lorsque le père et le fils s’absentent pour débarrasser la table. Je me lève, feignant de me dégourdir les jambes dans un recoin à l’abri des regards. Le blond vient me rejoindre prestement. Je le fixe et il soutient mon regard en silence. Je pose une main sur ses pectoraux en le complimentant:
    
    — Tu fais pas mal de sport dis donc.
    
    — Je cours et je fais du tennis. Tu devrais songer à t’y mettre aussi.
    
    Il me sourit d’un air arrogant, flattant ma chemise tendue par mon ventre, laissant sa main collée sur ma bedaine. Je me rapproche un peu de lui et je saisis de mes doigts un de ses tétons que je pince doucement. Il se laisse faire. Je lui empoigne alors la main et la fais descendre jusqu’à mon entrejambe.
    
    — Je n’ai peut-être pas un ventre plat, mais j’ai une belle queue épaisse et endurante pour toi.
    
    Il se mord les lèvres d’envie en constatant la véracité de mes propos. Le père et le fils reviennent avec des bouteilles supplémentaires et nous devons rompre le moment. Je retourne m’asseoir avec une gaule d’enfer. En prenant place, le blond rapproche sa chaise de la mienne et sa main vient retrouver la bosse formée par mon jean noir. Le fils s’en aperçoit, mais reste stoïque.
    
    Le portable du père se met à sonner. Il décroche et s’en va converser un moment dans la maison. ...
    ... J’attire aussitôt le blond contre moi et je viens fourrer ma langue dans sa petite bouche ouverte. Il la suce avec avidité. Je fais ensuite signe au fils d’approcher. Il hésite, puis rapproche sa chaise pour que je puisse le galocher à son tour. Je les embrasse ainsi farouchement à tour de rôle tandis qu’ils caressent les boutons de mon jean étirés par mon érection colossale. Nous nous séparons juste à temps lors du retour du père, qui pousse un long soupir exaspéré.
    
    — Bon, j’ai une urgence au boulot, je dois m’absenter une heure maximum.
    
    A peine les pneus de la voiture ont-ils fini de crisser dans l’allée que j’ouvre ma braguette pour faire émerger mon sexe tendu. Les deux garçons se mettent à genoux sans attendre et viennent me sucer, tour à tour ou conjointement. J’ai largement de quoi contenter les deux jeunes hommes. Ils embrassent mon gland et mes couilles, me faisant respirer comme un bœuf. Je me régale de leurs petites bouches avides, mais j’en veux plus.
    
    Je me lève et les dirige vers le salon. Ils obéissent docilement à mes ordres, se déshabillant et se mettant à quatre pattes côte à côte sur le large canapé. Je m’occupe de leurs petits trous avec ma langue et du gel. Je fais au plus vite, je peine à me contenir.
    
    C’est tout habillé, seules dépassant de ma braguette mes couilles et ma bite, que je commence à prendre le blond. Lui aussi est bien serré, je sens les veines de ma bite frotter contre ses parois. Mon gland gonflé l’élargit jusqu’à ce que je puisse ...
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