1. Comment j'ai baisé le fils de mon voisin. (1)


    Datte: 01/03/2023, Catégories: Gay Auteur: Arouse, Source: Xstory

    ... mouvement que je fais lui crispe le visage. Je le laisse s’habituer à la sensation et j’en profite pour le branler à nouveau. Il commence à se détendre et à bouger avec plus d’aisance sur ma queue. Quand j’estime son petit trou suffisamment écarté, je lui saisis les hanches et je commence à le doser.
    
    Au départ, il y a davantage de cris de douleur que de plaisir, ce qui m’excite tout autant. Il faut dire que je le ne pine pas tendrement. Je beugle également, des puissants râles de plaisir, le sang tambourine dans ma tête. Mon visage est déformé par des rictus de plaisir tandis que je prends mon pied à sentir ma queue parcourir son petit anus de puceau. Je l’attrape par les épaules et je lui hurle :
    
    — Alors elle est bonne ma bite hein ?!
    
    Il est trop affairé à être ballotté par mes coups de hanches pour me répondre convenablement, aussi je lui colle une baffe et je lui ordonne :
    
    — Réponds !
    
    — Oui ! Oh putain oui !
    
    Il finit par accepter son sort et essaye même de se redresser à plusieurs reprises, mais il s’affale à chaque tentative sous la force de mes coups de boutoirs. Il s’époumone de plaisir et d’extase. Pour un petit puceau, il en veut. Je suis couvert de sueur et je dégouline sur lui. Je lui claque ses petites fesses rebondies autant avec mes mains qu’avec mes couilles. La chambre est emplie du vacarme du lit qui tambourine contre le mur, de mes vigoureux coups de bassins et de mes râles de plaisir. Je trouve terriblement bandant de voir ce beau garçon ...
    ... se faire dérouiller par un vieux vicelard à grosse bite comme moi.
    
    Je voudrais continuer à le pilonner toute la soirée, mais la vision de son petit trou rempli et de ses fesses rebondies me pousse à bout. Dans un dernier râle, je retire ma queue, ne laissant que le gland, et je profite du spectacle de mon foutre remplissant son cul de puceau, mon jus coulant à l’intérieur puis débordant de son anus. J’en récupère un peu et je lui fais goûter. Il lèche le sperme sur mes doigts avec le peu de force qu’il lui reste. Je m’affale sur lui, mes poils épais couvrant son dos de transpiration.
    
    Je laisse reprendre ses esprits, puis il se rhabille et rejoint le domicile familial, son fondement encore rempli de mon foutre, avant que son père ne s’inquiète de son absence.
    
    Après cet épisode, je n’eus guère l’opportunité de le revoir les jours suivants. Je croise occasionnellement son père, que je salue en souriant tandis que je me remémore le bruit de mes couilles contre le cul de son fils. Il m’invite un soir à venir prendre le digestif. Lorsque je quitte ma demeure pour me rendre dans leur jardin, la nuit est déjà avancée. J’ai glissé dans ma poche un flacon de gel, ne sait-on jamais.
    
    Sur place, il y a donc le père, le fils et un jeune homme blond, athlétique et mince, qu’on présente comme le meilleur ami du fiston. Je ne retiens pas son prénom, trop occupé à imaginer sa bouche s’activer sur mon gland. Si le fils est gêné par ma présence, il ne le montre pas.
    
    La soirée est ...
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