1. Anne au Congo


    Datte: 03/02/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byJipai, Source: Literotica

    ... plus douloureux pour la pauvre femme américaine qui ne semblait plus avoir maintenant la moindre réaction.
    
    Le manège dura plus de deux heures et jusqu'au petit matin, elle furent violées par des hommes qui se succédaient dans la pièce gloussant et rigolards.
    
    Quand ils furent partis, Michelle et Anne se rapprochèrent de l'américaine qui gisait sans vie. Elles l'examinèrent et avec ce qui restait de chiffon, elles lui baignèrent le visage et le corps, la lavant et la caressant au mieux pour lui redonner un souffle de vie. La femme revint à elle lentement mais il devint vite clair qu'elle perdait la raison. Les deux femmes firent de leur mieux pour la réconforter mais elles ne lui tirèrent que de sanglots.
    
    Cette ambiance finit par détruire ce qui les accrochait encore à la vie, l'une et l'autre se regardèrent et ne elles ne virent que le désespoir sur le visage qui leur faisait face. Quand elles entendirent à nouveau la serrure s'ouvrir, elles se rapprochèrent instinctivement et se serrèrent ensemble. Un homme déposa un nouveau seau plein d'eau et un peu de nourriture douteuse avant de se retirer. Les deux femmes considérèrent craintivement l'écuelle pleine d'un brouet de mil et s'en approchèrent avec circonspection. Anne y mit un doigt et goûta la pâtée. Ce n'était pas si mauvais et l'instinct de survie faisant le reste elle mangea ce qui lui était proposé. Michelle suivit son exemple, après quoi les deux femmes essayèrent de faire manger l'américaine mais celle-ci ...
    ... refusa toute nourriture et se recoucha les yeux clos. Cette femme attendait la mort.
    
    La journée fut chaude, pour la première fois depuis bien des jours le ciel s'était dégagé, les nuages cédant la place à un soleil de feu qui brûlait les hommes et les animaux. Dans la torpeur des heures, Anne et Michelle trouvèrent un semblant de repos dans une somnolence pas vraiment réparatrice. Sans arrêt sur leurs gardes, elles sursautaient au moindre bruit dans le couloir où des hommes pourtant allaient et venaient sans discontinuer.
    
    Plus tard dans l'après midi, il y eut davantage d'éclats de voix juste derrière la porte, les femmes retinrent leur souffle. Une clé tourna dans la serrure, elles se tinrent l'une dans les bras de l'autre et tremblantes, elles attendirent.
    
    Ce fut le grand mandingue qui apparut, son teint cuivré luisait dans l'ombre dorée de la fin d'après midi. Il entra et sourit à Anne en se penchant vers elle.
    
    " Ce soir, j'ai l'opportunité de vous sortir de là " dit il dans un souffle.
    
    Les femmes ouvrirent de grands yeux, elles n'en croyaient pas ce grand type à la face luisante de sueur penché vers elles.
    
    " Tenez vous prêtes, je dois conduire un convoi en ville, il y aura deux camions, je commande l'un d'entre eux, je ferai mettre des bâches dedans, vous vous cacherez dessous? En ville les camions prendront des itinéraires différents, je vous conduirai en lieu sur. "
    
    Il se releva rapidement et sortit en leur lançant " A ce soir ".
    
    Anne et Michelle ne ...
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