1. Le projet artistique (49)


    Datte: 28/02/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Yojik, Source: Xstory

    ... fait pour la première fois. J’extirpai son sexe et le caressai d’un lent mouvement de haut en bas. J’avais le sexe humide, assez pour me faire prendre. Je montai alors sur Herman et m’empalai sur son membre. Je fus agréablement surprise d’être aussi bien remplie. Et, même si j’avais baisé pour différents tournages, je n’avais plus fait l’amour avec un homme depuis Paul. Et c’est ce que je faisais maintenant avec Herman. Il prit mes seins en main et donna des coups de reins.
    
    J’accompagnai son action en me soulevant au même rythme. Herman donna le maximum pour un homme de son âge et abstinent depuis un certain temps. Il se tendit soudain et je sentis son sperme envahir mon vagin. Je n’avais pas atteint l’orgasme, mais ce moment m’avait comblée autrement.
    
    — Oh pardon Beata. Je n’ai pu me retenir plus longtemps.
    
    Il me déposa à ses côtés et employa ses doigts sur mon sexe. Il sembla avoir repris certains automatismes, car il fut plus adroit et me donna rapidement du plaisir. Il continua ainsi quelques minutes puis en titillant plus précisément mon clitoris, je finis par jouir aussi. Il me déposa un baiser sur la joue et je fis de même avant de repartir dans ma chambre. Je me retournai dans l’embrasure de la porte et lui fis un petit signe de bonne nuit. Il me le rendit et sembla vouloir graver dans sa mémoire mon image nue.
    
    Le lendemain matin, Herman m’accueillit en m’appelant Elisa à nouveau. Je repris également mes affaires et ma coiffure. Il partit vers 11h au ...
    ... village. Il revint peu après midi avec Gitta et Dieter. Ils étaient là, tout heureux de me voir vivante.
    
    — Elisa ! Ça va ? Quelle horreur cet accident.
    
    — Oui. Je sais j’y étais. Quel est le bilan au final ?
    
    — Il y a deux morts, trois blessés graves dont le chauffeur, et une disparue toi, me dit Dieter. Les parents sont là évidemment.
    
    — Nous allons les rejoindre ensuite. Il y a un autre car qui passe dans deux heures et qui nous mènera tout près du lieu de l’accident. Là les autorités ont mis en place un centre d’accueil des familles, m’expliqua Gitta.
    
    — Tiens, voilà ta valise.
    
    Dieter me tendait ma valise. Celle qui était prête depuis un moment avec mes faux papiers, des vêtements et mon argent. Je vérifiai son contenu. Je n’avais pas pensé à y mettre des chaussures.
    
    — Garde celles-là, me dit Herman en me désignant celles de Beata.
    
    — Merci, encore.
    
    — Tu pars quand ?
    
    — Dès maintenant Gitta. A priori ma photo n’a pas encore été diffusée dans les journaux et tout. Si j’attends trop alors les gardes-frontière vont me repérer.
    
    — Il y a un car qui part en fin de journée vers la frontière. Il faudrait descendre à l’avant-dernier arrêt pour éviter un contrôle trop poussé. Après tu devras faire les derniers kilomètres à pied.
    
    Herman me donna quelques autres conseils puis me laissa seule avec Gitta et Dieter.
    
    — Ça y est ? Tu pars ? me demanda mon amie, les larmes aux yeux.
    
    — Oui, enfin. Tu vas me manquer.
    
    — Toi aussi. Tiens, je t’ai amené un peu ...
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