1. Le projet artistique (49)


    Datte: 28/02/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Yojik, Source: Xstory

    ... Finalement, je sentis les soldats se crisper et se tendre. Ils éjaculèrent dans mes orifices. Ils poussèrent des cris d’animaux et je simulai un orgasme pour les satisfaire. Je pus me concentrer sur la fellation pour finir le militaire rapidement. Je le pompai avec vigueur tout en lui malaxant les couilles. Je lui aurais bien mis un doigt dans le cul, ça faisait venir les mecs plus vite, mais il pouvait ne pas comprendre et s’offusquer. Il réussit à jouir une deuxième fois, mais en n’expulsant qu’un tout petit jet de sperme. J’avalai sans mal, mais en faisant croire qu’il y en avait beaucoup. Cela allait sans doute contenter son orgueil de mâle.
    
    — Ah, Ursulla Wagner, c’est la meilleure ! Hein les gars ?
    
    — Ah oui. Incroyable chef.
    
    — Oui, du tonnerre cette fille.
    
    Ils parlaient de moi comme si je n’étais pas là ! Au lieu de leur faire remarquer, j’en profitai pour me rhabiller et me rajuster. Ils continuaient dans leurs commentaires graveleux quand je les avisai de l’heure.
    
    — Bien les garçons. Je peux y aller ou vous préférez expliquer pourquoi j’ai la chatte et le cul plein de votre foutre ?
    
    — Hein, euh, non, non. Merde, je les avais oubliés ceux-là. Bon, euh, je fais quoi moi ?
    
    — Déjà, tu vas me redonner mes papiers. Et je vais y aller moi. Je n’ai pas que ça à faire !
    
    Comme ils semblaient un peu perdus tous les trois, j’en profitai pour donner quelques ordres en douceur. Le sous-officier obtempéra machinalement en me donnant mes faux documents. Il ...
    ... sembla néanmoins indécis sur la suite. Il me sembla que sa conscience professionnelle allait reprendre le dessus.
    
    — Bon tu peux toujours appeler tes chefs, mais ça sera encore plus compliqué de leur expliquer mon état..., lançai-je en guise de menace.
    
    Cela lui fit l’effet escompté, la peur.
    
    — Bon, euh, non. Allez, vas-y.
    
    Je ressortis du bureau et m’engageai sur la route. J’évitai de me retourner vers eux et avançai droit devant. Je voyais le poste d’en face se rapprocher. J’entendis un véhicule arriver derrière au loin. C’était sans doute la relève, il s’en était fallu de peu. Je pressai le pas en avant. J’arrivai enfin devant les gardes du poste à l’ouest alors que des éclats de voix se faisaient entendre au loin en arrière.
    
    * * *
    
    Maxime narrateur
    
    Elisa venait de finir son histoire et il y eut un blanc assez long avant que Liz ne réagisse :
    
    — Mais c’est du viol quasiment !
    
    — Non pas quasiment. Selon la loi, cela serait considéré comme tel. Il n’y a pas que la contrainte ou la menace physique qui est prise en compte. L’utilisation d’une contrainte morale ou l’abus d’un pouvoir hiérarchique ou militaire comme là font partie des cas de viols, nous précisa Paul.
    
    Je sentais qu’il en voulait toujours à ces hommes. Je pouvais le comprendre, si on avait obligé Amandine à avoir des relations sexuelles comme ça, j’aurais pété un câble.
    
    — Mais, je me trompe ou c’est la nuit chez Herman qui t’a le plus gêné ? lui demanda Esteban.
    
    — Mmmh, en effet, j’ai ...